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21 juin 2016 2 21 /06 /juin /2016 06:33

S.B / le 21 juin 1429 : la triple donation du Royaume de France.

Peu avant le sacre de Charles VII, à Reims, le 17 juillet 1429, Jeanne par un pacte officiel et public renouvelle le pacte conclu entre Dieu et le Royaume de France naissant à Reims en 496.

Qui connaît, aujourd'hui, ce qui s'est passé le mardi 21 juin 1429 à 16 heures en l'abbaye de Fleury-sur-Loire, appelée ensuite Saint-Benoît-sur-Loire ?

C'est pourtant là qu'a lieu un évènement central de toute l'histoire de France. Alors que la confusion la plus grande règne en France où « il y a grande pitié », Dieu se manifeste à notre nation. Débauche, immoralité, trahison des clercs et des élites intellectuelles de l'université de Paris, politique qui avec la reine Isabeau de Bavière, ont vendue la France par le traité de Troyes, qui la donne à Henri V Roi d'Angleterre, scandale de la filiation du Dauphin, le futur Charles VII, que sa propre mère appelle « batard » ;

tout semble annoncer la disparition de la Fille Ainée de l'Eglise.

La triple donation du Royaume de France est racontée dans le Breviarium historiale, texte rédigé peu après, au cours de l'été 1429, qui est consultable à la Bibliothèque Vaticane. Jehanne dit à Charles : «Sire, me promettez-vous de me donner ce que je vous demanderai?» Le Roi hésite, puis consent. «Sire, donnez-moi votre royaume». Le Roi, stupéfait, hésite de nouveau ; mais, tenu par sa promesse et subjugué par l'ascendant surnaturel de la jeune fille : «Jehanne, lui répondit-il, je vous donne mon royaume». Après quoi, voyant celui-ci tout interdit et embarrassé de ce qu'il avait fait : «Voici le plus pauvre chevalier de France : il n'a plus rien». Cela ne suffit pas : la Pucelle exige qu'un acte notarié en soit solennellement dressé et signé par les quatre secrétaires du Roi. « Notaire, écrivez dit la pucelle inspirée : le 21 juin de l'an de Jésus christ 1429, à 4 heures du soir, Charles VII donne son royaume à Jeanne. Ecrivez encore : Jeanne donne à son tour la France à Jésus-Christ.

-Nos Seigneurs dit-elle d'une voix forte, à présent, c'est Jésus-Christ qui parle : "Moi, Seigneur éternel Je la donne au Roi Charles". Que signifie cet événement capital ? - que ce Dauphin, que l'enseignement républicain nous présente comme un indécis et un demeuré, voire le digne fils d'un fou, mais que ses contemporains appellent le «bien-servi» (ce qui signifie qu'il savait juger les hommes), montre en cette occasion une foi extraordinaire en la Sainte Providence. .....- qu'il n'y a qu'un seul Roi qui mérite d'être aimé et servi : c'est le vrai Roi de France, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Et que C'est Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST qui a VOULU ÊTRE, ET EST, ROI DE FRANCE; et le Christ a voulu nous le faire savoir par l'entremise d'une  jeunefille de 17 ans.

- que la raison d'être de notre pays est de proclamer à la face de l'univers non seulement la royauté universelle du Christ sur le monde, c'est sa mission « d'éducatrice des nations » ;

- que cet acte officiel et capital consacre le Roi de France comme le lieutenant du Christ ; si les successeurs de Charles VII avaient compris, ils auraient considéré ce document comme le plus grand de leurs trésors; ils l'auraient relu et médité tous les jours et seraient encore aujourd'hui sur le trône ; Dès le lendemain, le Dauphin décide d'aller à Reims pour se faire sacrer, malgré plusieurs opposants et grâce à l'insistance de Jeanne. Le pacte de Reims se renouvelle alors que tout semblait perdu. Or A-t-on vu un vrai Roi abandonner ses sujets ? Peut-on penser une minute qu'après avoir tant châtiée la France, il ne puisse ne pas répondre aux prières le suppliant de convertir le pays?

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20 juin 2016 1 20 /06 /juin /2016 18:35

Mardi 21 Juin: 53ème  anniversaire de l'élection de SS Paul VI au Souverain Pontificat

Le 30 juin ,anniversaire de son intronisation

Le 30 juin 1963 a lieu le couronnement de Paul VI. Pour la première fois dans l'Histoire de la papauté, la cérémonie se déroule à l'extérieur de la basilique Saint-Pierre, en raison de l'affluence prévue. Une centaine d'États est représentée par leur souverain ou chef d'État. Le pape arrive en sedia gestatoria. Au cours d'une longue cérémonie, l'épître et l'évangile sont chantés en latin puis en grec (en signe d'unité), puis Paul VI fait une allocution au cours de laquelle il parle en neuf langues.Il y déclare notamment : « Nous défendrons la Sainte Église contre les erreurs de doctrine et de pratique qui tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'Église menacent son intégrité et cachent sa beauté ».

Après cette allocution, le cardinal Ottaviani, protodiacre, pose sur la tête du souverain pontife la Tiare .

Paul VI, le jour de son Couronnement (30 juin 1963), prononça ce serment adressé à Notre Seigneur Jésus-Christ : « JE PROMETS : - de ne pas diminuer ou rien changer de ce que j’ai trouvé conservé par mes très estimés prédécesseurs, et de ne pas admettre une quelconque nouveauté, mais de conserver et de vénérer avec ferveur, comme leur vrai disciple et successeur, de toutes mes forces et de tout mon soin, ce qui fut transmis ;

- de corriger tout ce qui émergera en contradiction avec la discipline canonique, et de garder les sacrés Canons et les Constitutions Apostoliques de nos Pontifes comme des commandements divins et célestes, étant conscient que je devrai rendre stricte raison devant votre jugement divin de tout ce que je professe, moi qui occupe votre place par divine condescendance et fais fonction de Vicaire, assisté de votre intercession. Si je prétendais agir différemment ou permettre qu’un autre le fasse, Vous ne me serez pas propice en ce jour terrible du jugement divin… (p.43 ou 31). C’est pourquoi nous nous soumettons au rigoureux interdit de l’anathème, si quelqu’un, ou nous-même, ou un autre, a la présomption d’introduire quelque nouveauté en opposition à la Tradition évangélique ou à l’intégrité de la foi et de la religion, en tentant de changer quelque chose à l’intégrité de notre foi, ou en acquiesçant à qui prétendrait le faire avec une sacrilège audace. » (‘Liber Diurnus Romanorum Pontificum’ p.54 ou 44, P.L. 1 ou 5)

 

Il a défendu  le Credo avec force.C'est l'essentiel. Un jour nous saurons la Vérité toute entière et les calomniateurs seront dans la honte....Fiat LUX

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20 juin 2016 1 20 /06 /juin /2016 11:05

Selon MCI .Le 16 juin à l’ouverture du Congrès pastoral sur la famille pour le diocèse de Rome, le" pape"(Voir note) a littéralement jeté la consternation parmi les fidèles catholiques. À l’improviste en se départissant de la lecture de son texte, le "pape "a fait une double affirmation. « La grande majorité de nos mariages sacramentels sont nuls » et que « les concubinaires vivent un vrai mariage, et reçoivent la grâce du sacrement. » Il confirme : «J’ai vu beaucoup de fidélité dans ces cohabitations, et je suis sûr que ce sont de vrais mariages ; ces concubins ont la grâce d’un vrai mariage à cause de leur fidélité » a-t-il dit ajouté. Une vidéo du "pape" faisant cette déclaration a été effectuée.....

Le raisonnement du "pape" peut s’appliquer à tous les sacrements.

Rappelons-lui le catéchisme à savoir qu’« un sacrement est un signe sensible sacré pour produire la Grâce ». Il doit être fait selon la forme, avec une matière et une intention ; ce qui n’est pas le cas des concubinaires, car jusqu’à preuve du contraire, le concubinage ne constitue ni la forme, ni la matière, ni l’intention du mariage !!! Avec le "pape" François, il y a les mariés qui sont concubins et les concubins qui sont mariés malgré eux !

 

 

NDLR les "guillemets"  sont de nous.Comment peut -on persister à croire que ce personnage destructeur est  pape légitime?Mystère de l'aveuglement-châtiment.Se taire devient de la complicité....par action et par omission.....

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20 juin 2016 1 20 /06 /juin /2016 07:01

Tête et cœur .

L'acte de foi suite 2/2

Dispositions préliminaires à l'acte de foi.

La foi est un don précieux, car le salut se fait par la grâce au moyen de la foi », (Eph.II.. 8).Il importe donc au plus haut point de savoir comment nous pouvons l'obtenir;

Les dispositions requises sont:

a).L'humilité.

La raison doit reconnaître qu'elle est impuissante à tout comprendre et à tout expliquer.Malheureusement,.les hommes préfèrent trop souvent, comme dit saint AUGUSTIN, leur vérité à la vérité.

-b) La mortification des passions.

La volonté vient difficilement à la Foi si elle n'est pas accompagnée d'un cœur pur.

c) La prière.

La foi est avant tout l'œuvre de la grâce. Or la grâce, quoique don gratuit de Dieu, s'obtient par la prière .

 

Quand ces conditions essentielles ont été remplies, la raison est en état d'étudier les motifs de crédibilité qui établissent le fait de la rêvélation.

Les péchés contre la Foi.

Leur gravité. On peut pécher contre la foi: par omission et par action.

A) On pèche par OMISSION:

- a) par paresse spirituelle qui néglige de s'instruire à tout âge et se maintient dans l'ignorance coupable .

b-par indifférentisme,quand on ne prend pas la peine d'étudier les vérités qu'il faut savoir; quand on estime que toutes les religions sont également bonnes, ou mieux, également fausses, et que dès lors, il est indifférent de pratiquer plutôt l'une que l'autre, ou -

c)par respect humain, quand on craint de montrer, sa foi. «  « Celui qui rougit de Moi, dit Notre-Seigneur, et qui M'aura renié devant les hommes, Moi aussi Je le renierai devant Mon Père qui est dans les cieux,» (Mat., X, 33 ; Luc, IX, 26). .'

B; On pèche par ACTION: -

a) par hérésie,

quand on professe une doctrine qu'on sait hérétique. Si l'hérétique est inconscient de son erreur, sa faute n'est que matérielle.

- b) par apostasie,qui est l'abandon allant jusqu'à la négation totale de la foi chrétienne reçue au Baptême. L'apostat,diffère de l'hérétique en ce qu'il rejette tout, tandis que l'hérétique ne nie qu'un ou plusieurs articles de foi.:

Conclusion pratique.

1° Remercier Dieu de nous avoir fait don du grand bienfait de la foi.

2°Fortifier la foi en nous par la prière, l'étude de la religion,la lecture de la Sainte Écriture

3° Ne jamais lire les livres ni fréquenter ceux qui la combattent sans une très solide formation

4° Manifester notre foi par la pratique de la charité , par l'aumône, les œuvres de miséricorde, la proclamer devant nos ennemis et la propager chez ceux qui ne l'ont pas.

Prier au moyen de la Messe votive pour la propagation de la foi"

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19 juin 2016 7 19 /06 /juin /2016 07:13

L'ACTE DE FOI

Extrait de la «  philosophie de l'homme » de Roger Verneaux,Éditions Beauchesne1966 »Un cours « magistral »d'un professeur thomiste exceptionnel

« Nous prenons ici la foi au sens strict, la foi chrétienne ou plus exactement catholique, comme adhésion aux vérités révélées, telles qu'elles sont enseignées par l'Église:

C'est un acte surnaturel.

La grâce prévient et soutient tout le travail psychologique, depuis la première « bonne pensée » jusqu'à la « profession de foi» explicite. Mais la grâce n'intervient pas ordinairement dans le fonctionnement naturel de l'esprit, elle ne fait pas nombre avec les causes secondes. Par conséquent, il est possible d'analyser l'acte de foi d'un point de vue simplement psychologique, à la seule condition de ne pas prétendre que c'est le seul point de vue possible et légitime : le point de vue théologique est non seulement tout aussi légitime, mais infiniment plus profond.

1. - L'acte de foi est un jugement.

Il est très important pour la vie spirituelle de situer exactement la foi . Elle est d'ordre intellectuel et non pas d'ordre affectif, un jugement et non pas un sentiment. L'acte de foi, en effet, est l'assentiment à une vérité révélée, et donc, comme tout jugement, l'affirmation d'un rapport entre deux idées. en tant que vrai ou réel. La formule-type n'est pas, comme le laisserait penser le titre d'un ouvrage récent: « Je crois en toi. mon Dieu », mais « Dieu est », ou « Jésus-Christ est Dieu». Il n'est pas nécessaire de formuler: « je crois ... ». car l'affirmation: « Jésus~Christ est Dieu» est un acte de foi, en raison de son contenu ou de son objet. Et il est faux de faire entrer dans la formule une invocation quelconque adressée à [Dicu, car la piété, l'adoration, la prière, suivent de la foi mais ne la constituent pas. Il est fort possible de faire un acte de foi sans aucune piété, et même sans aucune charité, si l'on est dans la sécheresse ou en état de péché mortel.

Nombre de gens pensent avoir « perdu la foi » parce que les sentiments de piété de leur enfance se sont dissipés; ils vivent en conséquence, de sorte que la fausse impression d'avoir perdu la foi les amène peu à peu à perdre effectivement la foi, c'est-à-dire à être incapables de donner leur assentiment aux dogmes.

2. - Le jugement est motivé.

Selon la doctrine catholique, la foi est «  raisonnable », elle est rationnellement motivée, elle n'est pas un acte aveugle, un «  saut dans l'absurde» comme le dit Kierkegaard, fidèle écho de Luther. La foi est rationnelle d'abord négativement, en ce sens que l'objet n'est pas intrinsèquement contradictoire, impossible ou absurde. C'est la première condition pour qu'il soit croyable. Et c'est pourquoi les théologiens prennent la peine de montrer que les dogmes les plus difficiles, comme celui de la Trinité ou de l'Incarnation, ne contreviennent pas au principe de contradiction. De plus la foi est positivement raisonnable, en ce sens qu'il y a des raisons de croire», des « motifs de crédibilité». C'est le travail de l'apologétique que de passer en revue ces raisons; elle est l'œuvre d'un croyant qui étale devant lui, si l'on peut dire, les raisons qu'il a de croire. L'apologétique apparaît ainsi comme une partie intégrante de la Théologie. Elle n'est aucunement destinée à convertir les incroyants. S'il arrive que les raisons qu'un chrétien a de croire paraissent satisfaisantes à un incroyant, tant mieux, mais c'est accidentel, ce n'est pas le but de l'apologétique.

Le chrétien sait parfaitement que la conversion du cœur est une œuvre qui transcende toutes les ressources de l'apologétique, et qu'elle s'obtient d'abord par la prière et le sacrifice, puis par l'exemple et par la simple présentation du message chrétien qui porte en lui-même sa lumière. C'est pour son bien propre que le chrétien doit réfléchir aux fondements de sa foi.

Au fond, toutes les raisons de croire se ramènent à une seule : le témoignage des Apôtres et de l'Église. Mais la foi porte au delà du témoignage des hommes. En lui, à travers lui, elle perçoit la parole de Dieu, de sorte que, en définitive, ce n'est pas sur une autorité humaine mais sur l'autorité de Dieu qu'elle repose, propter auctoritatem ipsius Dei revelantis (Denz, 1789). Aussi est-elle plus certaine que toute démonstration, car Dieu est la vérité même et Ses évidences valent infiniment mieux que les nôtres.

 

3. - La foi est « obscure ».

(Le RP Garrigou Lagrange parle souvent du clair obscur des mystères.C'est pourquoi nous devons nous instruire et chercher des éclaircissements,comme le mal voyant implore la clarté) L'objet de l'affirmation ne peut jamais être rendu évident; la foi porte sur des mystères qui ne peuvent être ni démontrés ni compris. Si les dogmes pouvaient être démontrés, il y aurait alors science et non plus foi. On ne peut à la fois savoir et croire (le même objet, en même temps, sous le même point de vue).Le Père Madigan disait: « Il y a des vérités qu'il faut croire, car sans cela on ne comprend plus rien » Certains dogmes peuvent être retrouvés par la raison, démontrés d'une manière rigoureuse: spécialement l'existence de Dieu, Créateur du ciel et de la terre. Pendant le temps qu'on tient sous son regard l'ensemble de la preuve, on sait que Dieu existe et l'on ne croit pas en Lui. Mais bientôt, laissant de côté les preuves, on revient à un acte de foi.

4. - La foi est libre.

De ce que le jugement n'est pas rendu évident par les raisons, il s'en suit qu'il n'est pas nécessité, mais suppose une intervention de la volonté. On voit évidemment qu'il faut croire, mais il reste à poser l'acte de foi. On le pose librement, si l'on veut, sans être contraint. C'est ce qui fait que la foi est une vertu et qu'elle est méritoire. La volonté intervient, comme en tout jugement, d'une façon indirecte pour appliquer l'attention et écarter les objections. Mais elle a, de plus, une action directe, elle « impère » le jugement lui même que les raisons ne suffisaient pas à déterminer.

En conclusion, nous signalerons deux choses. D'abord, qu'il est vain de vouloir utiliser l'introspection pour savoir si l'on a la foi. On ne trouvera rien, parce que la foi, comme 'habitus', est inconsciente.(Un habitus consiste pour un sujet par le fait de posséder quelque chose distincte de lui même de posséder : du verbe habere : avoir.) La conscience ne peut saisir que les actes de foi, au fur et à mesure qu'on les accomplit. La vie, la conduite, la pratique sont plus révélatrices, quoiqu'il soit possible, au moins pour un temps, d'accomplir les exigences de la Religion sans y adhérer intérieurement. L'habitus ne se discerne que par la facilité avec laquelle on fait des actes de foi :(on peut dire alors qu'on « a » la foi ou pas....)

Quant aux doutes qui peuvent traverser l'esprit, ils ne mettent aucunement la foi en danger mais font bien plutôt partie intégrante de sa vie. En effet, si par doute on entend les questions qui se posent au sujet du contenu des dogmes, ils sont l'origine d'une recherche qui est toute la théologie : fides quaerens intellectum. Si par doute on entend les objections qui se présentent au sujet de la vérité même des dogmes, ils traduisent simplement dans la conscience le fait que les vérités révélées ne sont pas évidentes ni démontrables, et qu'en conséquence l'assentiment qu'on leur donne est libre, autrement dit que la foi doit être constamment reconquise. L'Église maintient seulement qu'il n'y a pas d'objection telle qu'elle soit une raison valable de refuser son assentiment. »

« Pour savoir la valeur d'un acte, imaginez l'acte contraire et décidez-vous»A suivre

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18 juin 2016 6 18 /06 /juin /2016 18:03

Ramadan....Un message, signé  par le cardinal Jean-Louis Tauran, président du dicastère et Mgr Ayuso Guixot, secrétaire, s’intitule, année de la Miséricorde oblige, : « Chrétiens et musulmans, bénéficiaires de la miséricorde divine ». Le but recherché est d’imposer l’idée, d’imprimer ce mensonge, dans les esprits des uns et aux autres, que des liens privilégiés unissent musulmans et catholiques puisqu’ils croient en un même Dieu Miséricordieux – Allah/Sainte-Trinité même mystère en somme – : « Aussi bien le christianisme que l’islam, nous le savons tous, croient en un Dieu Miséricordieux qui montre Sa miséricorde et Sa compassion envers toutes ses créatures, en particulier envers la famille humaine ». (MPI)

 

C'est Jésus que l'on met à mort une fois de plus.C'est vraiment l'heure des ténèbres.....Parce Domine 

 

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18 juin 2016 6 18 /06 /juin /2016 06:59

Conseils pour les temps de persécution

.(Bossuet- Discours sur l'histoire universelle.Page252

 C'est dans la patience et la confiance que sera votre force")

 

« A cette époque, les chrétiens ne devront attendre aucun secours humain et être tous des saints.Jésus meurt sans trouver, ni reconnaissance dans ceux qu 'Il oblige,ni fidélité dans Ses amis,ni équité dans Ses juges.Son Père même retire toutes les marques de Sa protection :le juste est livré à ses ennemis et il meurt abandonné de Dieu et des hommes.Mais il fallait faire voir à l'homme de bien,que dans les plus grandes extrémités,il n'a besoin ni d'aucune consolation humaine,ni même d'aucune marque sensible du secours divin : qu'il aime seulement et qu'il se confie,assuré que Dieu pense à lui sans lui en donner aucune marque,et qu'une éternelle félicité lui est réservée... »

Patience et persévérance,en état de grâce, dans la vigilance et la prière,à l'imitation de Jésus-Christ.Tout le reste sera donné par surcroit

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17 juin 2016 5 17 /06 /juin /2016 09:14
Est ce bien raisonnable.....?

Est ce bien raisonnable.....?

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17 juin 2016 5 17 /06 /juin /2016 07:39

le 17 juin 1793 : allocution du Pape Pie VI au sujet de l'assassinat de sa Majesté Très Chrétienne Louis XVI, Roi de France. Le livre est téléchargeable sur internet ici : http://books.google.fr/books?id=0MhBAAAAcAAJ&pg=PA7&dq=le+pie+VI+au+sujet+de+la+mort+de+louis+xvi&hl=fr&sa=X&ei=DPumU6DDF46b0wW3g4GICQ&ved=0CB8Q6AEwAA En voici des extraits :source SB 

Un très beau texte qui doit nous faire prier pour que la restauration promise du pouvoir légitime se fasse à Rome comme en France

 

« Le Roi très-chrétien Louis VI a été condamné au dernier supplice par une conjuration impie; et ce jugement s'est exécuté. Nous vous rappellerons en peu de mots les dispositions et les motifs de cette sentence.

La convention nationale n'avait ni droit ni autorité pour la prononcer. En effet, après avoir abrogé la monarchie, le meilleur des gouvernements (Bossuet), elle avait transporté toute la puissance publique au peuple qui ne se conduit ni par raison ni par conseil, ne se forme sur aucun point des idées justes, apprécie peu de choses par la vérité, et en évalue un grand nombre d'après l'opinion ; qui est toujours inconstant, facile à être trompé et entraîné à tous les excès […] » (page 5) 1.

« Eh! Qui pourra jamais douter que ce monarque n'ait été principalement immolé en haine de la foi et par un esprit de fureur contre les dogmes catholiques? Déjà depuis longtemps les Calvinistes avaient commencé à conjurer en France la ruine de la religion catholique. Mais pour y parvenir il fallait auparavant préparer les esprits et abreuver les peuples de ces principes impies que les Novateurs n'ont ensuite cessé de répandre dans des livres qui ne respiraient que la perfidie et la sédition.[…]» (Pages 15-16) On s'est efforcé, il est vrai, de charger ce prince de plusieurs délits d'ordre purement politique ; mais le principal reproche qu'on ait élevé contre lui, portait sur l'inaltérable fermeté avec laquelle il refusa d'approuver et de sanctionner le décret de déportation des prêtres, et sur la lettre qu'il écrivit à l'évêque de Clermont pour lui annoncer qu'il était bien résolu de rétablir en France, dès qu'il le pourrait, le culte catholique. Tout cela ne suffit-il pas pour qu'on puisse croire et soutenir sans témérité que Louis fut un martyr ? […] » (Pages 27-29).... : « Ah France ! Ah France ! Toi que nos prédécesseurs appelaient le miroir de toute la chrétienté et l'inébranlable appui de la foi ; toi qui par ton zèle pour la croyance chrétienne et par ta piété filiale envers le Siège apostolique, ne marche pas à la suite des autres nations, mais les précède toutes, que tu nous es contraire aujourd'hui ! De quel esprit d'hostilité tu parais animée contre la véritable religion ! Combien la fureur que tu lui témoignes surpasse déjà les excès de tous ceux qui se sont montrés jusqu'à présent les persécuteurs les plus implacables ! Et cependant, tu ne peux pas ignorer, quand même tu le voudrais, que la religion est la gardienne la plus sûre, et le plus solide fondement des empires, puisqu'elle réprime également, et les abus dans les princes qui gouvernent et les écarts de la licence dans les sujets qui obéissent. Eh ! C'est pour cela même que tous les factieux adversaires des prérogatives royales cherchent à les anéantir, en s'efforçant de renverser d'abord la foi catholique. Ah ! Encore une fois France ! Tu demandais toi-même auparavant un Roi catholique ; tu disais que les lois fondamentales du Royaume ne permettaient point de reconnaître un Roi qui ne fût catholique. Et voilà maintenant que tu l'avais ce Roi catholique ; et c'est précisément parce qu'il était catholique que tu viens de l'assassiner. Ta rage contre ce monarque s'est montrée telle, que son supplice même n'a pu l'assouvir, ni l'apaiser.

Tu as voulu la signaler encore après la mort sur ses tristes dépouilles ; car tu as ordonné que son cadavre fût transporté et inhumé, sans aucun appareil d'une honorable sépulture. Ah ! Du moins on respecta encore la majesté royale dans Marie Stuart après la mort. Son corps fut embaumé, rapporté dans la citadelle et placé dans un dépôt pour le recevoir. On donna l'ordre à ses officiers et à ses domestiques de rester auprès du cercueil, aves toutes les marques de leurs dignités, jusqu'à ce qu'on eût destiné à cette princesse une sépulture convenable.

Qu'as-tu gagné en te livrant à une animosité que tu n'as pu satisfaire, si ce n'est de t'attirer plus de honte, plus d'infamie, et de provoquer le ressentiment et l'indignation générale des souverains, beaucoup plus irrités contre toi qu'ils ne le furent jamais contre Elisabeth d'Angleterre. Oh jour de Triomphe pour Louis XVI, à qui Dieu a donné la patience dans les tribulations, et la victoire au milieu de son supplice… (Pages 33-3)

 

Cf Lire dans recherche" les papes et la révolution"

SS Pie VI eut à faire face à la Révolution .Prisonnier, Il souffrit beaucoup et mourut d'épuisement.C'est un pape martyr.Prions-le

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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 15:52
Devise familiale" Plutôt rompre que plier"

Devise familiale" Plutôt rompre que plier"

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