La Divine Miséricorde poursuit le pécheur jusqu’à sa dernière heure.
Le 2 décembre 1920, Jésus dit à Marie-Fidèle : « J’aime les pécheurs et J’ai soif de leurs âmes. Les souffrances que tu as endurées avec Ma grâce et dans une union intime avec Moi, Je les ai unies au Sacrifice de la Croix, dont elles tirent toute leurs force. Je veux que tu* (*Sœur Marie-Fidèle Weiss (1882-1923) vécut très saintement dans le monastère des tertiaires franciscaines de Reutberg, en Bavière) Me laisses toujours le choix du pécheur en faveur de qui J’appliquerai le fruit de tes souffrances, et de tes sacrifices, maintenant ou plus tard. Je suis le Seigneur qui règle tout pour le mieux, selon ce qui convient à Ma gloire et au salut des âmes. Ce sont les pécheurs en face de la mort qui ont un besoin plus grand de Ma miséricorde. Je suis le Bon Pasteur à l’égard des pécheurs ; c’est pourquoi envers toi, Ma victime J’agis comme un juste juge. Ne suppose aucune âme perdue jusqu’au dernier moment de sa vie. Mon amour de Rédempteur et Ma sollicitude de Pasteur poursuivent le pécheur avec longanimité jusqu’à la mort pour le sauver et le rendre heureux ; car J’aime les pécheurs. (Ed. allm., p.164 ; éd. franç., p. 175 .)