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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 04:55

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Aveux de l’enfer .Ed .TRC ; Exorcisme du 5 avril 1978 –suite 4/6

 

C’est Verdi-Garandieu, prêtre damné, qui est forcé par la Toute Puissance Divine d’avertir les prêtres en terrible danger.

 « Si évêques et prêtres s'obstinent à maintenir cette situation désastreuse, des milliers et des milliers d'églises ne seront plus l'Église, ce qui commence déjà d'être, dès maintenant. Pour des milliers et des milliers de fidèles, les sermons actuels dans les églises sont des occasions de demeurer flasques au service du Seigneur ; par conséquent, sont des instruments de mort, puisqu'ils ne conduisent pas directement au Ciel et n'y font pas songer.

 

Tout cela est arrivé parce que le prêtre lui-même s'est laissé aller et ne vit plus lui-même le premier commandement de l'amour de Dieu. Telle une pomme, il se présente avec le ver à l'intérieur et il n'est plus le guide, alors qu'il devrait l'être. Si les évêques, les prêtres et les abbés avaient vécu suivant les règles fixées par le Seigneur, vous n'auriez pas cette catastrophe que, maintenant, vous voyez à Rome. Si cela avait été, le Seigneur n'eût pas toléré qu'un autre que le Pape Paul VI pût prétendre régner sous son nom.

 

Cette réalité, qui d'ailleurs a percé en dehors du Vatican, est l'œuvre de la franc-maçonnerie. Mais si, partout dans le monde, des millions de  fidèles s'étaient réunis autour d'exercices religieux pour prier et faire pénitence 'et demander en même temps au Seigneur qu'Il nous sorte de cette situation, le Ciel aurait évité, n'aurait pas permis qu'arrivât cette catastrophe. Si on s'était mis à des croisades de prières, Rome serait encore Rome.

 Je dois dire cela aussi: il faut que je dise à des milliers et des milliers de prêtres actuels que les femmes peuvent devenir leur perdition et cela n'arriverait pas s'ils se munissaient de la prière. Si les prêtres prenaient leur bréviaire et se nourrissaient de la doctrine des Docteurs de l'Église qui ont, par la prière, une si grande expérience de l'homme, les choses iraient différemment pour eux; tandis que, s'ils ne le font pas, ils appartiennent à ces milliers et ces milliers de prêtres qui, actuellement, vivent dans le péché mortel.

 

Des milliers de prêtres vivent hors de la grâce et ils ne disent plus le bréviaire, comme je faisais moi-même. Si, du moins, j'avais encore appelé à mon aide mon Ange gardien  ; mais non, j'ai refusé tous les moyens qui m'auraient permis de me reprendre et, en suivant ce mode de vie, j'ai négligé, certes, d'éduquer la jeunesse; et pourtant, j'ai été beaucoup moins mauvais que ce qui se fait actuellement avec les prêtres et les jeunes. Cet avertissement devrait être une lumière pour les prêtres qui sont sur la voie de la perdition.

 

Autrefois, il y avait encore beaucoup de prêtres qui veillaient à leur propre sanctification, mais, aujourd'hui, ils ont adopté la voie large et en même temps, la voie de la perdition. Si l'on ne prie pas pour eux, si des âmes pénitentes ne surgissent pas pour les défendre et leur obtenir des grâces, ils sont perdus. Cela paraît incroyable, c'est tragique, mais je suis obligé de le dire, tel que c'est.

 

C'est d'autant plus tragique que notre Dieu n'est pas un Dieu qui ressemble à un bonhomme de sucre. Il a créé des lois, ces lois sont éternelles. Il faut leur obéir, et les fidèles ne doivent pas écouter ceux qui, dans le clergé, préconisent le changement, parce que ce n'est pas le clergé qui fixe les lois, mais le Seigneur, et Ses lois demeurent éternellement. Ce n'est pas pour rien "que le Seigneur a fait remarquer dans l'Évangile qu'il vaut mieux entrer borgne dans le royaume des Cieux qu'avec les deux yeux en enfer".

 C'est en effet par le regard que, de nos jours, le prêtre se perd de plus en plus. De nos jours, les prêtres ne mortifient pas suffisamment leur regard. Ils acceptent dans leur cœur beaucoup trop d'images qui sont une gêne pour leur vie intérieure. Ça commence à la télévision et ça se poursuit dans les œuvres paroissiales, où les femmes sont maintenant en nombre. Autrefois, les femmes dans l'église, avaient la tête couverte. De nos jours, ça ne se fait plus. Alors, pourquoi tourner l'autel devant le peuple? Moi, Verdi-Garandieu, je disais la messe, le dos tourné au peuple, et quand même j'ai été séduit par les femmes; les prêtres actuels, avec la messe tournée vers le peuple, ont plus de tentations que jamais.

 

Ce n'est pas pour rien que le Seigneur, dans l'Évangile, a dit qu'il vaut mieux entrer borgne (dans le Royaume), ou avec une seule main et un seul pied, que de pénétrer dans le terrible tourment de l'enfer avec les deux yeux, les deux mains et les deux pieds. Les prêtres croiraient-ils que l'Évangile a perdu de sa valeur aujourd'hui et qu'ils peuvent le cuisiner à leur goût? Croiraient-ils que le Seigneur Jésus n'a parlé que pour les hommes devant lesquels Il a donné Son message? A Son époque, on portait les habits longs. Il ne vient pas à l'idée des prêtres que, peut-être, Il aurait parlé plutôt pour les gens de notre époque, où la perdition se répand de plus en plus par les moyens techniques, et où personne n'est capable d'arrêter quoi que ce soit. C'est une fournaise ardente de perdition, qui ne peut pas être éteinte par la pluie d'efforts auxquels s'astreignent un certain nombre de bons prêtres qui luttent ici et là.

 

Le Seigneur s'adresse toujours à la liberté de chacun. Par ailleurs, la Bible est là, l'Evangile en particulier ; et aussi tous les messages qui rappellent sans arrêt les directives que le Seigneur a fixées, Si l'on se refuse à les écouter, le Ciel n'y peut rien, surtout si l'on s'amuse à accommoder l'Évangile à son propre goût.

Si l'on jette toutes ces miséricordes au vent, que peut le Ciel?

 

Comment la grâce pourra-t-elle agir, si l'on ne lit plus de livres saints ou de livres de saints, par exemple la vie de Catherine Emmerich, ou bien celle du Curé d'Ars, ou même celle du Padre Pio, qui a donné un grand exemple- à notre époque. Chacun de ces saints ressent le même amour pour le même sacrifice, dans le même renoncement, par amour des autres. La pénitence de ces saints a été acceptée du Très-Haut.

 

Celui-ci serait tout à fait prêt à accepter encore d'autres réparations, d'autres sacrifices, en vue de la conversion. Souvent, le Bon Dieu aimerait qu'on soit capable de lui dire : «J'accepte les souffrances que vous m'enverrez. Donnez-moi la grâce de les supporter, pour la conversion de celui-ci ou celui-là». Mais on constate plutôt que, lorsque le Seigneur envoie des souffrances, très souvent les chrétiens les repoussent avec horreur et de toutes leurs forces. L'homme fait trop souvent son possible pour éviter de souffrir. Ce serait aux prêtres à vivre ces façons de voir et à les prêcher aux fidèles.

 

Ils ne vivent pas en conformité avec le premier commandement de Dieu, tous ceux qui refusent la souffrance et ne cherchent qu'à l'éliminer. C'est se mettre en meilleure conformité avec la volonté de Dieu que de dire: «Que soit faite Sa volonté et non pas la mienne !» Cette façon de s'unir à l'agonie du Christ serait la meilleure manière d'honorer l'amour de Dieu, Si la souffrance était unie à l'acceptation de la volonté de Dieu, elle prendrait une très grande valeur »

 .A suivre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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