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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 06:57

Autruche politique

                          La paresse de l’esprit

 

                     Instructions de Notre-Seigneur à Sr Marie du Sacré- Cœur

 

                   « Ma fille, le dernier des vices capitaux, c'est la paresse. Il y a deux sortes de paresse : la paresse de l'esprit et celle du corps.

                     La paresse de l'esprit peut s'entendre aussi de deux manières : celle qui concerne les affaires du salut, celle qui concerne les travaux intellectuels de la vie du temps.

                  1- La paresse de l'esprit, qui fait négliger l'affaire du salut, qui engourdit pour la pratique du bien spirituel et surnaturel, est la plus dangereuse de toutes, parce qu'elle entraîne directement à la perte du salut, à l'enfer. Il faut vous instruire de Ma doctrine, l’ignorance religieuse est la cause de beaucoup de maux. Qui M’aime cherche à Me connaître, désire Me connaître de plus en plus et ainsi M’aimer de plus en plus. Car en Moi sont tous les trésors de la Sagesse DIVINE ; Me connaître, c’est connaître les perfections infinies  de Dieu, Sa Puissance, Sa Sagesse, Son Amour. C’est la science la plus haute et la plus divine de toutes. Ensuite enseignez Ma doctrine et faites-Moi connaître.

                 2- La paresse de l'esprit, qui fait qu'on néglige d'occuper son intelligence de choses utiles, de travaux sérieux, est également très dangereuse. Un esprit non occupé tend naturellement vers le mal ; il suit l'inclination de sa nature, parce qu'il  n'a rien pour l'arrêter sur la pente rapide où il se trouve.

                 L'esprit peut être paresseux alors même que le corps travaille, ou bien il peut être occupé de pensées mauvaises, coupables et criminelles, et ainsi faire le mal.

 

                La paresse du corps consiste à demeurer inocuppé, à ne point travailler selon les devoirs de son état et à demeurer dans l'inaction. Cette paresse est dangereuse et entraîne aussi au péché, parce que l'homme inoccupé est environné de mille tentations auxquelles il ne peut résister parce qu'il ne travaille pas.

            La paresse du corps n'est point si terrible que celle de l'esprit. Il y a des personnes, en effet, qui ne peuvent point s'adonner aux travaux matériels et qui peuvent pourtant travailler intellectuellement. Pour elles, ne point occuper leur corps n'est point un vice ni un péché, parce que la plus noble partie d'elles-mêmes travaille et fuit la paresse.

               Fuyez la paresse qui vous empêcherait, Ma fille, de travailler à votre salut; occupez-vous constamment de cette affaire, la plus importante et la plus utile, et que toutes vos actions tendent vers ce but.

              Fuyez la paresse de l'esprit, elle inspire toute sorte de maux. Rien n'agit sur un esprit paresseux : ni les exhortations, ni les reproches, ni les menaces, ni les promesses ; tout est inutile, il s'endort dans l'inaction et dans la mort.

                Fuyez la paresse du corps : le travail est une pénitence, le travail est un bien, le travail prolonge la vie, et la paresse, au contraire, l'arrête et la suspend. Que deviendrait le laboureur, s'il ne travaillait pas son champ ? Ne mourrait-il pas de faim ? »…

                 Considérez, Ma fille, pour fuir la paresse, combien elle est odieuse au Seigneur, qui condamne aux ténèbres   extérieures le serviteur inutile,qui n’a pas voulu, par paresse faire fructifier son talent. Considérez que si vous ne semez point, vous ne pourrez rien récolter. »…

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 07:29

TeresaHigginson_jpg_w180h201.jpg

                     PRIÈRE DE TERESA HIGGINSON

À JÉSUS, «DONT L'ÂME FUT TRISTE JUSQU'À LA MORT. »

 

                  Souvenez-vous, ô Jésus, de l'épouvantable agonie que Vous avez endurée, quand plongé dans les profondeurs de la Justice de Votre Père, Vous Vous êtes écrié : «Mon Père, s'il est possible, que ce calice s'éloigne de moi !» et quand, accablé par la plus profonde désolation, Vous Vous êtes plaint que «Votre âme était triste jusqu'à la mort» ; enfin quand, mourant et abandonné de tous, même de Votre Père Eternel, ces mots d'étonnant mystère s'échappaient de Vos lèvres : «Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous abandonné ?».

          Souvenez-vous des soupirs, des gémissements, de l'angoisse de Votre Ame, de l'agonie de Votre Esprit, du brisement de Votre Cœur. Souvenez-vous des coups, des insultes, des blasphèmes, des épines, du sang, des larmes, du dépouillement, de la honte, des prières, qui précédèrent la séparation de Votre Ame Sainte d'avec Votre Corps Adorable.

              Souvenez-vous de la Sagesse de Votre Chef Sacré, qui inventa tant de souffrances pour prouver ainsi l'Amour de Votre Sacré-Cœur à Vos enfants. Souvenez-vous des souffrances de Marie. Souvenez-vous du prix que je Vous ai coûté et, en considération de tout cela, faites-moi miséricorde...

                  Pourquoi, ô mon Jésus Crucifié, mon aimable Jésus, tant d'âmes sont-elles dans les ténèbres et le péché ? N'êtes-vous pas le Dieu Tout-Puissant, le Dieu de la Sagesse, de la Science et de la Lumière ? N'êtes-vous pas notre Créateur, notre Rédempteur, notre Sanctificateur, notre Dieu Saint et Fort ?  Pourquoi notre ennemi et le vôtre est-il si audacieux ? O Seigneur, pour l'amour que Vous portez aux âmes, pour la gloire de Votre Nom, levez-Vous et montrez que Vous êtes le Dieu Vivant. Eclairez toutes les ténèbres par la lumière de Votre Divine Sagesse. Consumez tous les cœurs du feu de Votre amour. Attirez toutes les âmes, afin que nous puissions Vous consoler, en pleurant sur le péché qui est la cause de Votre immense tristesse. Cachez-nous dans Vos Blessures, baignez nos âmes dans Votre Très Précieux Sang. Imprimez profondément l'Image de Votre Chef Sacré dans nos cœurs, afin que nous ne puissions jamais oublier ni Vous, ni les souffrances que nous Vous avons causées.

             «Souvenez-Vous de nous. Seigneur, dans Votre Royaume.» Accordez-nous le pardon et la paix ici-bas. Permettez-nous de nous tenir auprès de Vous, dans Votre tristesse, afin que nous soyons trouvés dignes d'habiter pour toujours avec Vous, qui vivez et régnez avec le Père et le Saint Esprit, dans les siècles des siècles. Amen.

PERMIS D'IMPRIMER : G. PUYO, v.g

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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 16:06

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                                     La fausse liberté

 

                  La dernière folie nous vient d’Amérique, mais je pense qu’elle vient de plus bas. La « théorie du genre » prétend qu’on ne nait pas homme ou femme mais qu’on choisit son sexe, comme on veut. Bien sûr il y a le physique qui fait la « petite différence », mais l’exercice de la sexualité étant du « domaine privé » chacun, chacune est libre de choisir : Homo ou hétéro ou autre… Je n’y comprends pas grand-chose à ces fadaises pseudo philosophiques. Mais là où je hurle c’est que cette théorie absconse va être enseignée dans les lycées, aux adolescents d’abord et ensuite aux plus jeunes.

                J’y vois la signature de Satan et je pèse mes mots. Satan est le Négateur. Le néant est son royaume, le désordre et la confusion sont ses fumées. L’enfer est le lieu où la volonté des esprits ne veut pas ce qui est et veut ce qui n’est pas. C’est une torture vraiment infernale. Voilà le poison que l’on veut instiller à nos enfants. Nier la nature, vouloir ne pas être soumis au réel, faire pour soi sa propre réalité, ne pas servir, c’est l’orgueil absolu.La Justice Divine est terrible pour les pratiques contre-nature, pratiques du corps comme usages déviés de l’intelligence. Malheur à ceux qui scandalisent les âmes et sèment la confusion, sous les prétextes « humanistes »d’avènement de l’homme qui se faire l’égal de Dieu, créateur et maître de toute chose.

                                                       La Vraie Liberté

 

 

 

(Instructions de Jésus-Sauveur à Sr Marie du Sacré-Cœur)

 

 



 

 

 

    « C'est la charité, vertu qui vous est donnée par Dieu par grâce,  qui nourrit et entretient les sentiments de foi et d'espérance.

 

Enfin, Ma fille, la charité vous donnera la vraie liberté, la liberté des enfants de Dieu. Je n'entends point parler de cette liberté qui est le désordre, de cette liberté qui fait le mal. Non, cela n'est point la liberté. La liberté consiste à se soumettre volontairement à la loi. Or, celui qui aime véritablement Dieu, l'aimant toujours, fera toujours aussi ce qu'Il lui commande, ce qu'Il demande de lui ; il se soumettra sans peine, parce qu'il L'aime et qu'il ne veut Lui déplaire en rien. La volonté de Dieu sera la règle de sa conduite, et il suivra cette règle parce qu'il aime Dieu. Il fera tout ce qu'il voudra, et sera libre par conséquent, parce qu'il ne voudra que ce que Dieu veut. Tenez à cette liberté qui est la seule liberté vraie, conservez-la toujours en vous en y conservant l'amour de Dieu. Croissez dans l'amour de Dieu, et votre liberté grandira, parce que vous deviendrez de plus en plus portée à ne faire que ce que Dieu veut. »

 

 

 

Rien à voir avec la licence  qui n’apporte que de nouvelles chaines. Rien à voir avec l’anarchie qui n’apporte que confusion. Rien à voir avec l’orgueil qui refuse tout guide et tout sauveur, et refuse de servir. Rien à voir avec ces idoles de pierre qui sont censées éclairer le monde de leur flambeau ! Elles ne font que propager les incendies des révoltes. La Vérité seule nous rendra libres

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