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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 07:29

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                     PRIÈRE DE TERESA HIGGINSON

À JÉSUS, «DONT L'ÂME FUT TRISTE JUSQU'À LA MORT. »

 

                  Souvenez-vous, ô Jésus, de l'épouvantable agonie que Vous avez endurée, quand plongé dans les profondeurs de la Justice de Votre Père, Vous Vous êtes écrié : «Mon Père, s'il est possible, que ce calice s'éloigne de moi !» et quand, accablé par la plus profonde désolation, Vous Vous êtes plaint que «Votre âme était triste jusqu'à la mort» ; enfin quand, mourant et abandonné de tous, même de Votre Père Eternel, ces mots d'étonnant mystère s'échappaient de Vos lèvres : «Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous abandonné ?».

          Souvenez-vous des soupirs, des gémissements, de l'angoisse de Votre Ame, de l'agonie de Votre Esprit, du brisement de Votre Cœur. Souvenez-vous des coups, des insultes, des blasphèmes, des épines, du sang, des larmes, du dépouillement, de la honte, des prières, qui précédèrent la séparation de Votre Ame Sainte d'avec Votre Corps Adorable.

              Souvenez-vous de la Sagesse de Votre Chef Sacré, qui inventa tant de souffrances pour prouver ainsi l'Amour de Votre Sacré-Cœur à Vos enfants. Souvenez-vous des souffrances de Marie. Souvenez-vous du prix que je Vous ai coûté et, en considération de tout cela, faites-moi miséricorde...

                  Pourquoi, ô mon Jésus Crucifié, mon aimable Jésus, tant d'âmes sont-elles dans les ténèbres et le péché ? N'êtes-vous pas le Dieu Tout-Puissant, le Dieu de la Sagesse, de la Science et de la Lumière ? N'êtes-vous pas notre Créateur, notre Rédempteur, notre Sanctificateur, notre Dieu Saint et Fort ?  Pourquoi notre ennemi et le vôtre est-il si audacieux ? O Seigneur, pour l'amour que Vous portez aux âmes, pour la gloire de Votre Nom, levez-Vous et montrez que Vous êtes le Dieu Vivant. Eclairez toutes les ténèbres par la lumière de Votre Divine Sagesse. Consumez tous les cœurs du feu de Votre amour. Attirez toutes les âmes, afin que nous puissions Vous consoler, en pleurant sur le péché qui est la cause de Votre immense tristesse. Cachez-nous dans Vos Blessures, baignez nos âmes dans Votre Très Précieux Sang. Imprimez profondément l'Image de Votre Chef Sacré dans nos cœurs, afin que nous ne puissions jamais oublier ni Vous, ni les souffrances que nous Vous avons causées.

             «Souvenez-Vous de nous. Seigneur, dans Votre Royaume.» Accordez-nous le pardon et la paix ici-bas. Permettez-nous de nous tenir auprès de Vous, dans Votre tristesse, afin que nous soyons trouvés dignes d'habiter pour toujours avec Vous, qui vivez et régnez avec le Père et le Saint Esprit, dans les siècles des siècles. Amen.

PERMIS D'IMPRIMER : G. PUYO, v.g

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 07:44

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                                        RÉPARATIONS A JÉSUS                    

                                        BLASPHÉMÉ DANS SA PASSION.

 

               Ces prières sont toujours d’une actualité brûlante, car Jésus continue Sa Passion Mystique dans l’Église persécutée du dedans et du dehors. Ayons compassion des peines qu’Il endure afin qu’Il trouve un refuge en ces heures où Il ne sait où poser Sa Tête et où Il est méprisé et méconnu, abandonné, mis au rang des faux dieux. «  Ces sont les péchés contre l’Esprit qui Me donnent de douloureux élancements à ce Cœur qui Vous aime d’un Amour infini. »NSJC

                       

              Sainte Gertrude ayant entendu lire à la messe les paroles suivantes, qu'on adressa autrefois au Sauveur : «Vous avez un démon, elle fut si affligée  de cette injure faite à Notre-Seigneur qu'elle se mit à Lui adresser les paroles consolantes et les douces louanges qu'on va lire : «  Je vous salue, Perle vivifiante, etc., » et le Sauveur, voulant la payer d'un retour d'amour, s'approcha d'elle avec bonté, la salua aussi et lui dit: « Quiconque Me saluera avec

 

une affection semblable pour réparer les blasphèmes qu'on M'a adressés, Je lui montrerai, au jour du jugement, une si grande tendresse, que tous ses ennemis en seront stupéfaits, et prendront la fuite tremblants de frayeur. »

                       

           « Je Vous salue, Perle vivifiante de la Noblesse divine; je Vous salue, Fleur immortelle de la dignité humaine; je Vous salue, O très aimant Jésus, pour toutes les injures et tous les blasphèmes qu'on a proférés contre Vous sur la terre.

            M'appropriant l'amour et les affections de toutes les créatures, je Vous salue et je Vous bénis avec tout cet amour et toutes ces affections, autant de milliers de "fois que Vous avez

versé de gouttes de sang pendant Votre Passion, que Vous avez eu de blessures dans Votre Corps Sacré, que vous avez reçu de gifles, de coups de poing et de mauvais  traitements. Je Vous bénis et je Vous salue, doux Jésus, autant de milliers de fois, que Vous avez poussé de soupirs, que Vous avez versé de larmes, que Vous avez supporté de douleurs.

               Je Vous bénis' et je Vous salue autant de milliers de fois que Vous avez pratiqué d'actes de vertus, que Vous avez brûlé du désir, que Vous avez eu soif du salut des hommes, que Vous avez jeté de regards sur Votre Sainte Mère et sur Vos amis.

              Je Vous bénis et je Vous salue autant de milliers de fois que Vous avez fait de chutes sur la montagne des douleurs, que Vous avez eu de défaillances, que Vous avez mû Vos mains et Vos pieds sacrés.

                Je Vous bénis et je Vous salue, O Bon Jésus, autant de milliers de fois que Vous avez sué de gouttes de sang, que Vous avez fait de pas douloureux, que Vous avez adressé de gémissements à Votre Père pour Le fléchir.

                   Je Vous bénis et je Vous salue, O Bon Jésus, autant de milliers de fois que Vous avez reçu de blessures dans Votre flagellation, qu'il y a eu de cruelles épines dans Votre couronne, et de crachats lancés sur votre Visage adorable.

                 Je Vous bénis et je Vous salue autant de milliers de fois qu'il y a en de liens pour Vous enchaîner, d'opprobres et de salutations impies pour Vous abreuver d'humiliations. Je vous bénis et je Vous salue autant de milliers de fois que Vous avez été accusé par de faux témoignages, chargé d'infâmes calomnies et condamné par d'iniques sentences.

                   Et ces louanges et ces salutations mille et mille fois multipliées, je Vous les offre, ô Bon Jésus; je voudrais Vous les offrir à. toute heure, désirant, de toute l'affection de mon cœur et de mon âme, effacer entièrement et anéantir toutes les injures, tous les outrages et tous les blasphèmes dont on Vous a si indignement chargé, ô mon très doux Rédempteur.

                Je vous supplie d’agréer les désirs de vos pauvres serviteurs ; agréez-les, recevez-les avec bonté, n'écoutant que la tendresse de Votre Divin Cœur. Ainsi soit-il. »        

                       

                       

                       

           

                       

                       

                       

           

           

           

           

           

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 07:31

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                                 Il n’y a pas de plus grand amour…

 

                                        Cette magnifique lettre de Marie-Lataste (Sr Marie du Sacré-Cœur)(Ed.Téqui) nous révèle les profondeurs inouïes de l’amour de notre Sauveur pour nos âmes et doit nous inciter à prier pour l’Église qui partage l’agonie de son Chef et pour tous les agonisants, tous ceux dont la vie livre ses combats contre la mort.

 

       «  La Passion de mon Sauveur était dans mon esprit. J'éprouvai en moi comme un attrait irrésistible à suivre Jésus et à prier avec Lui avant Sa Passion. Je Le vis séparé de Ses apôtres, à l'écart, la face contre terre, et je L'entendis s'écrier: «  Mon Dieu, que ce calice passe loin de Moi, néanmoins que Votre volonté soit faite et non la Mienne. »

         Je m'approchai de Jésus pour essuyer la sueur qui coulait de Son front avec abondance: « Vous venez à Moi, Ma fille, me dit-Il, alors que tous M'abandonnent, Je vous remercie. »

   Seigneur, lui dis-je, combien grande est Votre douleur,!

   Ma fille, vous ne pouvez la comprendre. J'éprouve en ce moment toutes les souffrances de Ma Passion, et les chrétiens pieux, qui gardent souvenir de ce que J'éprouve à cette heure, m'honorent par leur vénération pour ce qu'ils appellent l'Agonie des Oliviers.

 

              Le Fils de l'homme, Ma fille, a eu plusieurs agonies. Savez-vous, en effet, ce que c'est qu'une agonie? L'agonie est l'abaissement considérable de la vie, c’est le combat d'un être vivant contre la mort qui va le frapper. Vous allez comprendre alors comment il a pu y avoir en Moi plusieurs agonies.

             La première a eu lieu au moment de Ma conception; la seconde dans le sein de Ma mère; la troisième au jour de Ma naissance; la quatrième au Jardin des Oliviers.; la cinquième sur la Croix.

            Ma première agonie a eu lieu au moment de Ma conception. Avant Ma conception, Je ne possédais que la vie divine. J'étais Fils de Dieu, Verbe éternel. Mais J'avais fait entendre Ma voix à Mon Père: « Voici que je viens ! » et Je vins à Dieu Mon Père, non plus seulement par le retour de Ma Personne divine à Lui-même, dans Son sein, mais par l'abaissement de Ma Divinité, de Ma vie divine que J'enfermai dans l'humanité que Je pris dans le sein de Marie, C'était là un abaissement que votre esprit ne comprendra jamais. Il y eut lutte entre Ma vie divine et la vie humaine que J'allais prendre; c'était l'agonie véritable de Ma vie divine; car, Ma fille, un tel abaissement était une véritable agonie, non point capable de Me ravir Ma Divinité, mais capable d'anéantir Mon Humanité, si Ma puissance divine n'eût donné à Mon Humanité la force de recevoir Ma Divinité et de s'y unir.

            La seconde agonie se fit dans le sein de Ma mère. Dans le sein éternel de Mon Père céleste, J'étais environné de Sa gloire; Je Lui reflétais éternellement cette gloire ; J'étais Dieu en Dieu, Dieu distinct de Dieu et Dieu uni à Dieu, Dieu engendré éternellement par Dieu et Dieu vivant éternellement en Dieu. Mais, dans le sein de Marie, J'ai dû abaisser, voiler et presque anéantir Ma gloire de l'éternité. Je possédais en Dieu une vie divine et glorieuse ; Je possédais en Marie une vie obscure, inconnue et paisible. Ma gloire comme Dieu ne peut disparaître, ne peut être anéantie; Ma vie divine ne peut M'être enlevée, parce que Je cesserais d'être Dieu; mais unir cette vie à la vie de l'humanité, conserver cette vie avec la vie de l'humanité, c'est l'abaisser et l'anéantir autant qu'elle puisse l'être, c'est la constituer en état d'agonie jusqu'au jour où Mon Humanité résidera, pleine de gloire, dans le sein de la Divinité.

         Ces deux agonies ne sont point deux agonies véritables, parce qu’elles regardent spécialement et en premier lieu Ma Divinité; Je vous les ai fait connaître afin que vous y arrêtiez quelquefois votre esprit, et que, devant l'abaissement et l'humilité de Ma Divinité, vous appreniez à vous abaisser et à vous humilier vous-même.

        La troisième agonie a commencé au jour de Ma naissance. Ma vie, en effet, devait être une expiation, une souffrance continuelle, jusqu'à Ma mort. Or, Ma vie s'est passée toujours dans la souffrance, et chaque jour la souffrance Me rapprochait de Ma mort. Je naquis dans la pauvreté; huit jours après Ma naissance, Je commençai à répandre Mon sang ; quarante jours après, Je M'offris comme Victime ; plus tard, Je dus fuir pour éviter la colère des rois de la terre. Je travaillai ensuite avec Marie et Joseph dans notre demeure de Nazareth; Je jeûnai quarante jours dans le désert; pendant trois ans, Je Me fatiguai à évangéliser les pauvres, à guérir les malades, à instruire Mes apôtres, et cela, pour préparer d'une manière plus prochaine Ma mort sur l'arbre de la Croix.

       J'ai vécu trente-trois ans comme une victime préparée pour la mort, attendant la mort, désirant même la mort pour le salut des hommes.

« L'état dans lequel Je Me montre à vous à cette heure est l'état de Ma quatrième Agonie. Ma Divinité Me montra tous les tourments, de Ma Passion, tous les crimes des hommes à expier; l'expiation de ces crimes, inutile pour un nombre immense, parce qu'ils n'en voudront pas profiter; et cette vue m'arracherait la vie, si Je ne la retenais pour éprouver la réalité des supplices qui Me sont destinés par la Justice de Mon Père.

« Enfin, Ma fille, une cinquième et dernière agonie est celle de la Croix. Les hommes avaient épuise sur Moi toute leur cruauté; ils M'avaient cloué sur la Croix, abreuvé de fiel et de vinaigre; le sang de Mes veines était presque tout répandu; les prophéties étaient accomplies; Je poussai un grand cri et remis Mon esprit entre les Mains de Mon Père. »

 

 

Jésus nous révèle le sens de la crise actuelle de l’Église, dans Ses messages d’amour et de miséricorde dans les années 1972 -73 (quelques extraits)

 

« Vous devez comprendre dans quel état de délaissement et d'abandon est laissé le Fils de l'Homme...

          Je suis arrivé à la limite de ce que Je peux endurer de votre part car, ouvertement, le Monde a crucifié de nouveau le Fils de Dieu fait Homme par amour, crucifié de nouveau par la haine de ceux qui ne veulent pas Le reconnaitre et crucifié plus encore par l'indifférence de ceux qui Le connaissent et qui Le trahissent. Ainsi sont renouvelées Mon Agonie, Ma Passion et Ma Mort dans Mon Corps mystique qu’est Mon Église

23-11-72.

Voici l'heure de Ma Passion Mystique et ce sont ceux qui devraient être auprès de  Moi qui M'abandonnent .C'est l'heure du reniement car les meilleurs Me quittent et préfèrent se mettre du côté de Mes bourreaux.

4-12-72.    

Je suis mort par Amour. Dans très peu de temps Je renouvellerai ce sacrifice et Je désire que ceux qui savent aimer soient, à Mon grand bonheur, présents à Mon Chevet….7-12-72

 

Souffre avec Moi les peines que J’endure et tu peux ainsi consoler ton Dieu  et Lui offrir ta personne afin qu'IL trouve en ces heures où Il ne sait où poser Sa Tête et où IL est méprisé et méconnu.15-3-73

 

Voici venu le moment où Je vais  renouveler pour vous cette mort qui vous valu le pardon de votre Dieu…..

 

Voici l'heure, et Je vous demande de comprendre que c'est par vos fautes que Je subis de nouveau cette douloureuse Passion Mystique….

 

Oui Je désire que vous compreniez la grandeur et la gravité des événements  que vous vivez, et que vous sachiez que Je vous ai choisis de toute éternité afin de vous avoir auprès de Moi, vous qui savez aimer »

 

 

Note : Jésus ne sait où poser Sa Tête. SS Paul VI, Tête visible de l’Église, ne savait plus à cette époque où se réfugier. Dans ces messages,Jésus adjure les catholiques de rester fidèles à SS Paul VI.

 

Souvenons-nous de cette parole de Jésus à Marie-Julie du Crucifix (25 novembre1887) « L’Eucharistie est Mon Cœur Mystique, comme l’Église est Mon Corps Mystique : Ma Tête Mystique est à Rome. »

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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 07:17

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 PRIÈRE POUR L'EXTIRPATION  DES HÉRÉSIES. (Sainte Gertrude)

 

             «  O très-miséricordieux Seigneur Jésus-Christ, vraie Lumière destinée à éclairer les nations, nous supplions Votre clémence de considérer la perte de tant d'âmes, qui, par la fraude de l'antique serpent, et par la tromperie des hérétiques, sont tombées dans les plus profondes ténèbres de l'erreur.

           O très-miséricordieux Jésus, est-il possible que ces âmes malheureuses, rachetées au prix de Votre Sang très-précieux, soient trompées par Satan, et que vous souffriez qu'elles soient soumises à son empire? Est-il possible que Vous laissiez tant d'âmes si dignes de compassion tomber tous les jours, pour avoir perdu la vraie foi, dans les abîmes de l'enfer? Rappelez-vous, O Jésus, combien de voyages pénibles Vous avez entrepris pour leur salut, combien de blessures et de plaies Vous avez reçues pour les racheter. Nous vous supplions donc, par la vertu de Votre très amère Passion et de Votre mort, de daigner éteindre entièrement ces exécrables hérésies et ramener à la vraie foi les cœurs endurcis et les esprits aveuglés des hérétiques. Ainsi soit-il. »

            Notre Père. Je vous salue, Marie. Gloria…

 

                           Les causes des hérésies et leur remède

 

« La première cause d’hérésie est l’orgueil intellectuel. Cet orgueil se croit capable seul de grandes réformes qui libéreront l’humanité des « préjugés ». Il ne veut pas servir et se soumettre à l’évidence de l’autorité et à l’autorité de l’évidence. Il se prend pour un génie méconnu et crie à la persécution s’il ne se sent pas suivi.

La deuxième cause d’hérésie est l’audace et l’entêtement. Ls fauteurs d’hérésie n’écoutent qu’eux-mêmes et s’obstinent dans leur déviation avec arrogance.

La troisième cause d’hérésie est l’esprit de changement à tout prix « et ne supportant plus la vérité, ils s’attachent à des fables ! »(St Paul II. TIM.IV,3-4) Il faut faire du nouveau et faire table rase du passé et de la Tradition, en particulier en matière de mœurs. Il faut libérer des contraintes morales, ou à l’opposé proposer des rigueurs inhumaines. Car c’est aussi une hérésie d’exagérer les exigences au delà du raisonnable. La vertu suit la voie du juste milieu ,qui n’en reste pas moins une voie étroite. Il y a des adaptations utiles, qu’il faut savoir faire avec discernement. Mais il faut que les fruits soient un réel progrès. Cela demande beaucoup de sagesse.

  En matière de mœurs, c’est presque toujours vers le libertinage que penche l’hérésie. L’impureté est la mère et la fille des mensonges. Car c’est la vérité qui est le fondement de la pureté. Le mensonge permet de tourner la vérité et de  permettre tout ce qu’elle réprouve. Et, pour leur malheur, les fauteurs de mensonges se prennent à leur propre piège. Car ils fuient la lumière qui révélerait leurs turpitudes.

Il faut donc beaucoup prier pour ceux qui sont sciemment ou inconsciemment dans l’erreur. Ils sont en danger de mort.

 

Pour venir en aide à ces victimes de l’esprit d’orgueil et d’infidélité, redoutable fléau du temps présent, Térésa Higginson nous a transmis le désir de Notre–Seigneur d’une dévotion particulière à Son Chef Sacré Siége de la Divine Sagesse, couronné d’épines, pour nous mériter la grâce de l’humilité. Qu’en faisons-nous ? »

 

 

 

 

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8 août 2011 1 08 /08 /août /2011 07:09

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                            Dies Irae, Dies illa…

 

                Instructions de Notre-Seigneur à Sr Marie du Sacré-Cœur

         

 « Ma fille, travaillez, me dit le Sauveur Jésus, travaillez avec ardeur à votre salut, le jour du Seigneur approche. Or, il est dit: Préparez-vous au grand Jour du Seigneur. Il a résolu de s'élever contre ses ennemis, Il les dissipera par Son souffle puissant qui les accablera, et Ses arrêts demeureront immuables. Aujourd'hui encore J'écoute ceux qui Me disent : Seigneur, ne nous punissez point dans Votre colère, ne nous rendez point ce que méritent nos offenses.

              Mais quand viendra Mon Jour, Je M'élèverai contre tous ceux qui ne seront pas Mon peuple. Or, ni les orgueilleux, ni les vindicatifs, ni les avares, ni les impudiques, ni les voluptueux, ni les intempérants, ni les paresseux, ni les ambitieux, ni les perfides ne sont point Mon peuple; car ils ne Me reconnaissent point pour leur roi.

           L'orgueilleux a dit : Ma satisfaction personnelle, la gloire de'mon nom, l'estime, des hommes, voilà mon Dieu et mon roi.

           Le vindicatif a dit: Venger toutes les offenses qui me sont faites, arracher œil pour œil, dent pour dent, voilà mon Dieu et mon roi.

           L'impudique a dit : Satisfaire toutes mes passions, voilà mon Dieu et mon roi.

             L'intempérant a dit: Le plaisir de la table, les festins copieux et délicats, voilà mon Dieu et mon roi.

              L'avare a dit: Accumuler or sur or, argent sur argent, possessions sur possessions, voilà mon Dieu et mon roi.

              Le paresseux a dit: Le repos, l'inaction la plus complète, voilà mon Dieu et mon roi.

            L'ambitieux a dit : M'élever, grandir, atteindre le faîte des honneurs et du pouvoir, voilà mon Dieu et mon roi.

           Le perfide a dit : Tromper, faire du mal secrètement, voilà mon Dieu et mon roi.

              Or, Je ne connais pas le peuple des orgueilleux, des vindicatifs, des impudiques, des intempérants, des avares, des paresseux, des ambitieux et des hypocrites, ni leurs dieux, ni leurs rois; Je M'élèverai contre ce peuple, ses dieux et ses rois, et Je l'exterminerai dans Mon éternelle malédiction.

« Ce peuple n'entend point Ma voix et ne Me connaît point, Je ne le connaîtrai point non plus et Je demeurerai éternellement sourd à ses cris.

             Si l'on me demande: qui est donc Votre peuple? Je répondrai: Mon peuple, ce sont tous les hommes qui Me reconnaissent pour Dieu et pour roi, qui obéissent à Mes commandements et à Mes lois, qui Me donnent leur esprit   et leur cœur. Voilà Mon peuple, le peuple que Je proclamerai au Jour que J'ai choisi, que nul ne connaît parce qu'il est Mon Jour, et que Je ferai poindre bientôt, alors qu'on y pensera le moins malgré tous les signes avant-coureurs qui seront donnés au ciel et sur la terre ».

 

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7 août 2011 7 07 /08 /août /2011 11:26

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                           J.R …le pyromane devenu pompier  

 

                La première session du Concile Vatican II fut marquée par le coup de force d’un groupe d’évêques européens très réformateurs. Les plus connus sont les cardinaux Liénart, Béa, Koenig, Alfrink ,Frings,…. chefs d’une armée d’experts et d’agents d’influence qui prit le contrôle d’un « conciliabule » dont le Saint Esprit a été visiblement chassé.

                Le Cardinal Frings ,archevêque de Cologne, participa comme évêque au deuxième concile du Vatican (1962-1965) et fut parmi les dix membres du Praesidium. Dans la séance d'ouverture du concile (la première Congrégation générale), il prononça un discours en latin où il réclama un délai pour que les pères conciliaires pussent faire connaissance les uns avec les autres avant de prendre des décisions sur la composition des commissions, ce qui empêcha que le concile se déroulât d'après l'ordre du jour prévu par la Curie. Il prononça aussi un discours rédigé en grande partie par Joseph Ratzinger, le futur Benoît XVI, qui était son consultant (peritus) en théologie pour le concile. Ce texte traitait du Saint-Office, défini comme trop conservateur tel qu'il était dirigé par le cardinal Ottaviani. Les suites en furent considérables car elles aboutirent à transformer radicalement l'administration de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi

               Il est donc très injuste de considérer et de proclamer que SS Paul VI est seul et unique responsable de toute cette subversion. L’histoire dira la vérité…

En attendant, on juge l’arbre à ses fruits…Faut-il vraiment se rallier à ce panache douteux ? Parce Domine

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7 août 2011 7 07 /08 /août /2011 09:57

                                                Ile de Crète, île d’accueil

 

                  L’île de Crète doit être chère à notre cœur, car SS Paul VI en exil (d’après nos informations)y a trouvé asile après son départ de Rome en Juillet 1981.L’ile de Crète est terre chrétienne depuis son évangélisation par Saint Tite, disciple de Saint Paul. Saint Paul échappa à une tempête sur ses côtes, lors de son voyage vers Rome, où il devait mourir martyr. (Actes des Apôtres )

L’Église orthodoxe de Crête est indépendante de l’Église grecque et dépend du Patriarchat de Constantinople dont le Patriarche Athénagoras (+1972) entretenait des relations très cordiales avec SS Paul VI. Les Crètois (comme les Maltais) sont connus pour leur tradition d’hospitalité et de fidélité. «  J’étais exilé, et vous m’avez accueilli » « Ce que vous aurez fait au plus petit d’entre les miens , c’est à Moi que vous l’aurez fait »La survie du pape pourrait bien être un des miracles qui, d’après nos prophètes, feront rentrer l’orthodoxie sous la houlette du Pasteur romain ,en relation avec la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie. Qui priera, verra…

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7 août 2011 7 07 /08 /août /2011 09:22

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                      « J’étais prisonnier et tu M’as visité…. »

 

                  «  Le Tullianum est le nom d'une ancienne prison de la Rome antique. '

Selon la tradition, cette prison de Rome a été creusée au pied du Capitole au VIIe siècle av. J-C., sous le règne d'Ancus Marcius. Cette prison a été agrandie par Servius Tullius qui lui laissa son nom. Elle fut encore agrandie sous Tibère : la dénomination de prison Mamertine date du Moyen Âge.

C'était une prison souterraine à deux étages. Selon l'historien Salluste : « Elle contient une salle basse, nommée Tullianum, qui s'enfonce à douze pieds sous terre. Elle est fermée de murs épais et couverte d'une voûte de pierre. C'est un cachot malpropre, obscur, infect, dont l'aspect a quelque chose d'effrayant et d'horrible. »

                 Ce lieu ne servait pas seulement de lieu de détention, mais aussi d'exécution. Jugurtha et Séjan y furent incarcérés. Cicéron y fit exécuter les complices de Catilina. Si Vercingétorix y resta six ans avant d'être exécuté pendant le triomphe de César, la plupart des prisonniers ne restaient pas longtemps dans cette prison et étaient exécutés au bout de quelques mois.

Selon la tradition catholique, c'est là aussi que furent détenus les apôtres Pierre et Paul. Pierre fut délivré par un ange Un autel leur a été dédié dans le cachot au XIXe siècle. Aujourd'hui, la prison est incluse sous une église. »

 

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 12:53

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Lecture de l'Épître de Saint­-Pierre.

                    « Mes bien-aimés, ce n'est pas en suivant  des fables ingénieuses que nous vous avons fait connaître la puissance et l'avènement de Notre-Seigneur Jésus-Christ! Mais c'est après avoir été témoins oculaires de Ses grandeurs Car Il reçut de Dieu Son Père un glorieux témoignage lorsque de la nuée où éclatait la gloire de Dieu on entendit cette voix: C'est là mon Fils Bien-aimé en qui J'ai mis toutes Mes complaisances; écoutez- Le. Et nous entendîmes nous - mêmes cette voix qui venait du Ciel lorsque nous étions avec Lui sur la sainte montagne.

                 Nous avons encore les oracles des prophètes, encore mieux établis, sur lesquels, vous  avez raison d'arrêter votre regard comme sur un flambeau brille dans un lieu obscur jusqu'à ce que le jour commence â paraître, et que l’étoile du matin se lève dans vos cœurs. »

 La fête de la Transfiguration fut étendue à toute l'Église par le pape Callixte III afin de commémorer la victoire qui, en1457, arrêta près de Belgrade le flot de l'Islam. Nous qui sommes dans le flot des "fables ingénieuses" dont parle Saint Pierre, accueillons son témoignage avec joie, ainsi que celui des prophètes que la Providence nous envoie pour sortir de la confusion.Et demandons leur intercession.

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 06:59

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          Pour éclairer nos ténèbres et apaiser nos angoisses

 

                LITANIES DU CHEF SACRÉ DE JÉSUS

 

 

SEIGNEUR, ayez pitié de nous.

 JÉSUS-CHRIST, ayez pitié de nous.

SEIGNEUR, ayez pitié de nous.

 JÉSUS-CHRIST, écoutez-nous.

 JÉSUS-CHRIST, exaucez-nous.

 PÈRE CÉLESTE, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.

FILS RÉDEMPTEUR DU MONDE, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.

 ESPRIT-SAINT, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.

TRINITÉ SAINTE, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous.

 

CHEF SACRÉ DE JÉSUS, (répéter avant chaque invocation)

Formé par le St Esprit dans le sein de la Bienheureuse Vierge Marie, ayez pitié de nous.

Uni substantiellement au Verbe de Dieu,

Siège de la Divine Sagesse,

Foyer des clartés éternelles,

 Sanctuaire de l'Intelligence infinie,

 Providence contre l'erreur,

Soleil de la terre et du Ciel,

Trésor de science et gage de Foi,

 Rayonnant de beauté, de justice et d'amour,

Leçon vivante d'humilité,

Reflet de l'infinie Majesté de Dieu,

 Centre de l'Univers,

Objet des complaisances du Père Céleste,

Qui avez revu les caresses de la Vierge Marie,

Sur qui s'est reposé l'Esprit-Saint.

 Qui avez laissé briller un reflet de Votre gloire au Thabor.

Qui n'avez pas eu sur terre, où Vous reposer,

Qui avez agréé l'onction parfumée de Madeleine,

Inondé d'une sueur de Sang, à Gethsémani,

Qui avez pleuré sur nos péchés,

 Couronné d'épines,

Indignement outragé pendant la Passion,

Consolé par le geste aimant de Véronique,

Qui vous êtes incliné vers la terre, au moment où Vous la sauviez par la séparation de Votre Ame et de Votre Corps, sur la Croix,

Lumière de tout homme venant en ce monde,

Notre guide et notre espoir,

Qui connaissez tous nos besoins,

 Qui dispensez toutes grâces,

Qui dirigez les mouvements du Divin Cœur,

Qui gouvernez le monde,

Qui jugez toutes nos actions,

Qui connaissez le secret de nos cœurs,

Que nous voulons faire connaître et adorer par toute la terre,

Qui ravissez les Anges et les Saints, Que nous espérons contempler un jour sans voile.

Nous adorons, Jésus, Votre Chef Sacré.

— Et nous nous soumettons à tous les décrets de Son Infinie Sagesse.

PRIONS. — O Jésus, qui avez daigné révéler à Votre Servante Teresa Higginson, Votre immense désir de voir adorer Votre Chef Sacré, donnez-nous la joie de Le faire connaître et honorer : laissez tomber sur nos âmes un rayon de Votre lumière, afin que nous avancions de clarté en clarté, conduits par Votre Sagesse Adorable jusqu'à la récompense promise à Vos élus. Amen.

IMPRIMATUR : 26 août 1937 - G. PUYO, V.G.

 

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