Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 09:07

Le Saint Sacrifice, fondement de toute sanctification véritable

A l'heure où des « représentants fictifs » du Christ nous proposent des canonisations factices,il est indispensable de retrouver les racines profondes du culte des saints ,afin de fuir les tentations d'idolâtrie.

Tout dans l'Église vit du Saint Sacrifice, source de toute grâce. Voilà pourquoi nous pensons qu'il est indispensable que le Pape Paul VI promulgue, « fulmine » la Bulle qui remettra la Sainte Messe de tradition à sa place centrale et exclusive.Un cercle parfait ne peut avoir deux centres... !

Béni soit Dieu dans Ses Anges et dans Ses saints..

.Patience Prions le Saint Esprit d'éclairer ceux qui sont, dans la confusion, en grand danger de mort....

 

Tant que nous demeurons dans l'exil de cette terre nous ne pouvons comprendre la vie après la mort. Mais nous savons que le Christ a vaincu la mort et. que, dans Sa Résurrection et Son Ascension, Il a précédé sur le chemin de la gloire ceux qu'Il a rachetés. La mort n'enlève donc pas la vie, elle la change, seulement; car les justes vivront éternellement avec le Seigneur.

Les inscriptions funéraires qui nous viennent des premiers chrétiens témoignent de la profondeur de leur foi concernant la vie future. La croyance en la communion des saints est aussi vieille que l'Église. Dès les premiers siècles, on demandait aux justes qui s'étaient "endormis" dans le Christ de prier Dieu pour ceux qui étaient restés sur la terre. On invoquait en particulier les martyrs, qui avaient imité le Christ jusque dans leur mort. On commémorait l'anniversaire de leur mort en célébrant l'Eucharistie sur leur tombeau. Après l'époque des persécutions on commença à vénérer et à invoquer publiquement d'autres saints. La pénitence volontaire des moines et la virginité pour l'amour du Christ furent considérées comme un martyre non sanglant; On donna à d'innombrables ascètes et pères de l'Église l'antique nom de "confesseurs ", réservé auparavant aux martyrs. Plus tard l'Église a réglé cette vénération. Nous ne pouvons appeler " saints" que les justes qui ont été déclarés tels dans un jugement solennel de l'autorité ecclésiastique suprême et légitime (canonisation). Mais quelque nombreux que soient les saints reconnus par l'Église, nous savons qu'il y en a infiniment plus dans la gloire du ciel, " une foule que personne ne peut compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue" (Apoc-7,9).

. Le Christ lui-même a attesté là gloire des saints en disant: " Si quelqu'un Me sert, Mon Père l'honorera" (Jean 12, 26). Les saints ont été des imitateurs du Christ: c'est pourquoi ils sont à leur tour un exemple pour nous, et, dans le royaume céleste où ils sont entrés une fois pour toutes avec le Rédempteur, ils ont la faculté d'être nos intercesseurs.

Au Concile de Trente l'Église l'a signifié clairement: "Les saints qui règnent avec le Christ prient Dieu pour les hommes! il est donc bon et utile de les invoquer humblement et, pour obtenir de Dieu des bienfaits par Son Fils Jésus-Christ notre Seigneur, qui est notre seul Rédempteur et Sauveur, d'avoir recours à leurs prières, à leur aide et à leur assistance". C'est donc aussi à bon droit que l'Église a recommandé la vénération des images et des reliques des saints., Il ne se trouve certes en elles aucun pouvoir divin; mais l'honneur qu'on leur rend retombe sur les saints eux-mêmes, et les restes mortels de leurs corps seront un jour ressuscités et gloriflés par le Christ pour la vie éternelle. Le Concile de Trente a établi à juste titre que nous ne devons jamais séparer la vénération des saints de la gloire du Seigneur, qui est la source de leur glorification. Le sacrifice du Christ, qui ne cesse d'être représenté sur l'autel, est le fondement de leur exaltation au ciel (offertoire de la messe Sacerdotes tui ; messe d'un confesseur pontife); c'est à cause de cette exaltation dans le Christ qu'ils peuvent intercéder pour nous auprès de Dieu et, par leurs prières, lui rendre agréables nos offrandes (offertoire de la messe In medio, messe d'un docteur). Par leur puissante intercession ils sont capables de nous faire participer -aux grâces de la Rédemption, et surtout aux grâces dont ils ont été particulièrement ornés: la fermeté des martyrs, la vaillance des confesseurs, l'amour des mystiques, la pureté des vierges,l'orthodoxie des docteurs: tous aspects différents d'une seule imitation du Christ qui constitue l'essence même de la sainteté. Car ils sont tous saints dans et par le Christ: nous ne devons jamais l'oublier. Nous voyons le Seigneur reflété de diverses façons dans Ses saints. Chacun d'eux, selon la mesure de sa propre imperfection (qui a arraché tant de soupirs sur terre aux saints les plus grands), Le représente. Mais unique est le Soleil qui les illumine et les fait resplendir de Sa lumière: c'est le Seigneur qui, seul,est Saint par Lui-même. »

Partager cet article
Repost0
9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 06:10

W...et le Saint Esprit  

   W.... (Jean-Paul II) ,représentant fictif du Christ, a reçu le titre glorieux de saint : Titre le plus élevé après ceux de vénérable et bienheureux.... Ce qui impliquerait de sa part pendant toute sa vie une parfaite docilité à l'Esprit de Sainteté, qui est parfaite connaissance et amour de Dieu. Depuis le concile Vatican II,la subversion s'est servi du paravent d'un esprit-saint fictif,imaginaire, pour travestir la Vérité ét la Charité et faire passer pour divinement inspirées des idées et des conduites contraires à la doctrine traditionnelle de l'Église.

Depuis toujours les hérésiarques,les illuminés,les pseudo réformateurs se sont servis de ce masque d'une prétendue inspiration.Le pentecôtisme,ce « spiritisme » chrétien fait des ravages dans les rangs des catholiques après avoir corrompu nombre de sectes. W...a sur le plan pratique beaucoup encouragé ces dérives.

Sur le plan doctrinal, la déconstruction est systématique,sous le couvert des « fumigénes » d'une piété fictive. (Nous citons l'étude de Mr l'abbé Schonbroot)

1-La plus grave atteinte au Credo est l'abandon du « Filioque ».(Pour les non latinistes prononcer Filio-quoué)

Voici d’abord le dogme catholique.

Le Saint-Esprit procède du Père et du Fils (en la­tin: Filioque). Les Grecs schismatiques (appelés à tort « orthodoxes ») nient ce dogme. Photius le nia, et surtout l’évêque de Constantinople Michel Cérulaire, qui déclencha en 1054 le schisme oriental. Les Grecs revinrent à la saine doctrine lors du IIe concile de Lyon, mais retombèrent dans l’erreur peu après. Ils reconnurent à nouveau le Filioque lors du concile œcuménique de Florence, après qu’un car­dinal latin leur eût cité une sentence de St. Épiphane, qui était l’un des Pères de l’Église grecs très vénéré par les Orientaux. Mais après le concile, les Grecs retournèrent à leur hérésie. En 1453, huit ans après le concile de Florence, la ville de Constantinople fut prise par les Turcs. Les Grecs avaient blasphémé le Saint-Esprit ~ leur capi­tale fut envahie le jour de la Pentecôte, qui est la fête du Saint-Esprit!     Que les Grecs aient été châtiés par Dieu pour avoir nié le Filioque ressort non seulement de cette coïncidence extraordinaire des dates, mais encore d’une révélation privée du bienheureux Constant de Fabriano (mort en 1481). Il faisait d’instantes prières pour que les musulmans n’envahissent point Constantinople. Mais Dieu lui révéla alors qu’Il allait permettre l’invasion turque, en vue de châtier les schismatiques grecs, coupables d’avoir nié le Filioque.     Laxisme wojtylien: au lieu de distinguer entre « catholiques » reconnaissant le Filioque et « hérétiques » grecs niant ce dogme, Wojtyla transforme les schismatiques (et hérétiques) grecs en « chrétiens orientaux ». Il y a, selon lui, une « tradition orientale » et une « tradition occidentale », qui seraient complémentai­res. « Cette légitime complémentarité, si elle n’est pas durcie, n’affecte pas l’identité de la foi dans la réalité du même mystère confessé » (Catéchisme de l’Église catholique, n° 248).

    Cette manière de présenter la foi est erronée:

1. La véritable tradition orientale est favorable au Fi­lioque (St. Grégoire de Nysse, St. Épiphane), tandis que les Grecs schismatiques la trahissent. Les Grecs agissent même en faussaires, puisqu’ils ont supprimé, dans les écrits de St. Grégoire de Nysse et aussi dans les actes du VIe concile œcuménique, des passages où est enseigné le dogme du Filioque[1]!

2. Il n’y a pas « complémentarité », mais négation de la foi solennellement définie au concile de Florence par les Grecs et par les Latins[

3. Celui qui reste attaché sans compromis au Filioque est accusé hypocritement de « durcir la complémentarité »: on ne saurait mieux discréditer la saine intransigeance sur un article de foi catholique et divine!

4. Il est de foi que l’ajout du « Filioque » dans le credo a été une mesure raisonnable et utile.

    Wojtyla soutient même que l’Église romaine aurait be­soin des lumières des hérétiques grecs: « Du fait qu’elles sont com­plémentaires, les deux traditions sont, dans une certaine mesure, im­parfaites si on les considère isolément. C’est dans leur rencontre qu’elles peuvent se compléter mutuellement et présenter une inter­prétation moins inadéquate du «mystère caché depuis des siècles et des générations, mais maintenant manifesté aux saints» » (Documentation catholique, 16 février 1986, p. 183).     Les Grecs nient un article de foi. Wojtyla s’aligne sur eux. « Certains catholiques, le pape en tête, admettent qu’on puisse réciter le credo sans le Filioque, puisque cela a été fait à saint Pierre de Rome » (Michel Endokimov, La Croix, 15 février 1986) * * *   

  2. L’OBSTINATION DANS LE PAGANISME, FRUIT DU SAINT-ESPRIT: W... reprend certaines hérésies anciennes. Mais il sait également faire preuve de créativité. On lui doit, en effet, une invention originale. L’obstination dans le paga­nisme serait... le fruit du Saint-Esprit!     « Le Saint-Esprit est même mystérieusement présent dans les religions et cultures non-chrétiennes » (allocution du 26 mars 1982). Ceci est évidemment faux, car contraire à la Sainte Écriture: « Tous les dieux des nations païennes sont des démons » (Psaume XCV, 5). Une fois de plus, on arrive au même constat:. Celui qui tient le contraire de ce qui a été clairement révélé dans la Bible est ipso facto hérétique (St. Thomas: Somme théologique, I, q. 32, a. 4).     Quiconque étudie les religions non-chrétiennes se rend compte très vite qu’elles sont un tissu d’absurdités et même de turpi­tudes. Eh bien, désormais, l’adhésion à de telles erreurs doit être imputée au Saint-Esprit. Citons W....: « La fermeté de la croyance chez ceux qui professent les religions non-chrétiennes provient de l’Esprit de Vérité » (encyclique Redemptor hominis, 4 mars 1979). Une traduction correcte se formulerait ainsi: « N’arrive-t-il pas parfois que la conviction ferme de ceux qui professent les religions non-chrétiennes - qui procède, elle aussi, de l’Esprit de Vérité, opé­rant au-delà des frontières visibles du Corps mystique - ne fasse honte aux chrétiens...? ».     Il est vrai que la phrase se trouve à la forme interroga­tive, mais elle comporte cependant en son milieu une affirmation. l’obstination dans le paganisme anti-chrétien procède du Saint-Esprit.    

3. RUINE DE LA THÉOLOGIE SUR LES SACREMENTS: Dans une autre encyclique (Dominum et vivifican­tem, 18 mai 1986), Wojtyla affirme la prétendue habitation de l’Esprit Saint « dans le cœur de chaque homme ». Le Saint-Esprit « est donné aux hommes. Et de la surabondance de ce Don incréé, chaque homme reçoit dans son cœur le don créé particulier par lequel les hommes deviennent participant de la nature divine. Ainsi, la vie humaine est pénétrée de la vie divine », Par cette encyclique, Wojtyla ruine la théologie catholique, concernant les sacrements, source de la grâce. Si tout le monde a le Saint-Esprit, à quoi bon se faire bapti­ser ou aller se confesser? Toujours ce nouveau dogme de l « ’homme-dieu ».Représentant fictif,doctrine imaginaire, idole des mal-croyants,tout se tient...Jusqu'à l'heure de vérité... !

Partager cet article
Repost0
8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 01:26

Prions Saint Michel avec Marie-Julie du Crucifix

Avec Saint Joseph, Saint Michel est le confident aimé Marie-Julie.

Elle prie comme Sainte Jeanne d'Arc pour le retour du Roi de France  et aussi pour le triomphe du pape légitime;

le Saint Archange est chargé par Dieu de la guider et de la protéger.

Extase du 24-4-1874: Marie-Julie: «Je vous invoque, Grand Saint Michel. Apportez le triomphe dans le cœur de vos enfants. Venez apporter le germe du beau Lys.(Le grand Roi descendant de Saint Louis) Rendez nous nos étendards, donnez la paix.

Grand Saint Michel, gardien des Anges, venez apporter le Triomphe.

Et, tenant dans ses mains l'image de Saint Michel, Marie-Julie ajoute :

Oh ! comment Grand Saint Michel s'est-il abaissé jusqu'à descendre du Ciel dans mes mains qui prennent ce qui est béni par un prêtre.

Grand Saint Michel, Saints Anges, St Pierre et St Jean, Sainte Marie-Madeleine, assistez-nous.

Puis elle embrasse l'image de Saint Michel en l'invoquant pour la France.

Ô Grand Saint Michel, que je contemple derrière Notre-Seigneur, et la Très Sainte Vierge Marie, terrassant l'enfer, sauvez l'Église et la France.

Ô Grand Saint Michel, écrasez la tête de l'infâme démon. Percez-le de votre pique, sauvez l'Église et la France.

Ô Grand Saint Michel, descendez vite au secours de l'Église et du Souverain Pontife, sauvez l'Église et la France.

Ô Grand Saint Michel, venez à notre secours avec Jésus, Marie, Joseph, sauvez l'Église et la France.

Ô Grand Saint Michel, ce Lys qui sort de votre cœur, qu'il nous fasse parvenir au bonheur, la gloire et la paix, sauvez l'Église et la France.

Ô Grand Saint Michel, présentez nos prières pour l'Église et la France et attendrissez les Cœurs Unis de Jésus, Marie, Joseph, sauvez l'Église et la France. 

» Saint Michel est l'exécuteur des ordres divins. Quand Dieu lui ordonne d'annoncer la miséricorde, il annonce. Quand Dieu lui ordonne d'annoncer la justice,il fait justice.Quand Dieu lui ordonne de frapper les impies,il frappe. Humble et courageux serviteur du Roi, il est humble serviteur de la Reine. Toujours prêt, toujours près,il assiste Notre Dame en toutes ses manifestations.Il est le « garde du Corps » mystique du Christ, l'Église fidèle. Il est le défenseur des droits royaux sur la France.Il l'a montré en maintes reprises,notamment en inspirant Sainte Jeanne d'Arc. Il agit et agira au moment des châtiments,purifiant la terre de son ivraie, permettant ainsi la réalisation de la promesse divine : «  Donner à la France un Chef que guidera l'Éternelle Sagesse et dans le texte des lois remettra Son Saint NOM».Saint Michel lutteIl soutient l'Église souffrante et son Chef légitime en exil. Prions-le

« Je suis l'Ange des grandes nouvelles, je suis l'Ange porteur des secrets de l'Éternel. Laissez les hommes de la terre chercher leurs couronnes, leurs sceptres. Celui qui doit la porter est encore caché dans le secret de l'Éternel. Celui-là est le VRAI, le véritable Envoyé de Dieu. Je viens vous apporter cette glorieuse et bonne nouvelle du salut. .. Mais pour l'autre côté, je porte une nouvelle terrible, je porte aux pécheurs la vengeance du Tout-Puissant; je viens planter la croix au milieu de vous, âmes fidèles, mais avec elle, j'apporte LE SECRET DU ROI qui doit tous vous sauver. Au milieu d'innombrables merveilles, j'apporte LE NOM que le Divin Roi du Ciel a choisi Lui-même pour vous sauver tous ... »:

: «Personne ne connaîtra le Roi. Il est le Roi CACHÉ et Dieu ne veut pas qu'on le connaisse avant l'heure de Sa Providence, car s'il était connu, les francs-maçons, les républicains ou certains prétendants essaieraient de le faire disparaître. »

Partager cet article
Repost0
7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 19:40

Un petit test

« L'auteur de l'article dit que la résurrection d’entre les morts était « une vieille fantaisie apocalyptique juive », l'auteur écrit que la résurrection du Christ « fut plus une construction théologique qu’un fait réel », une « expérience spirituelle » qui ne peut être vécue que de l’intérieur et non pas de la manière dont l’a soutenue saint Paul « dont le cerveau malade(,SIC) comme l’a écrit Nietzche, n’a pas compris le message évangélique sur la mort de l’âme et sa renaissance dans l’esprit (…) L’affirmation paulinienne que notre foi est vaine si le Christ n’est pas ressuscité (…) est [la] plus antiévangélique qui soit »

 

Choisissez: ce texte a t'il été écrit ? Par un grand maitre de la Loge , Par un grand penseur...athée ?

Perdu:  l'Osservatore Romano, JO du Vatican, emploie  et rémunère- avec vos offrandes -cet « expert en théologie mystique « sic » A qui se fier ?......

Partager cet article
Repost0
7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 03:48

0rages, foudres et tonnerres , signes du ciel

Récemment deux orages ont frappé des monuments catholiques très connus le Vatican et la statue du Christ de Rio.Que faut-il en penser ?

Nous pensons utile de remettre ces évènements dans leur signification spirituelle , telle qu'elle est exprimée dans la Sainte Écriture

I- Interprétation païenne.

- Dans l'ancien Orient, l'orage est regardé comme la manifestation d'un dieu (Baal en Canaan). Cette manifestation présente trois caractères :

Déploiement de forces cosmiques devant lesquelles l'homme ne peut rien, l'orage révèle la majesté terrifiante du dieu.

Phénomène dangereux pour l'homme, il est à ce titre un signe de colère : le dieu, caché dans la nuée, donne de la voix contre ses ennemis (=tonnerre) et lance contre eux ses flèches (= éclairs) (cf Ps 18,6-16).

Enfin, apportant la pluie fertilisante, l'orage montre dans le dieu la source de la fécondité.

2- L'orage signe de la Majesté divine.

Dans le langage biblique, toute résonance polythéiste est évacuée, spécialement celle qui s'attachait aux cultes de fécondité; mais l'orage garde un sens. Il est une des merveilles qui proclament la grandeur du Créateur, une manifestation voilée de Sa majesté redoutable : Dieu trône au-dessus de lui dans sa transcendance (Ps 29). Aussi permet-il de représenter le Seigneur dans sa gloire. . Il est le cadre de la théophanie classique où sont évoquées les interventions Dieu ici-bas : celles de l'histoire sainte, lors de l'Exode , au Sinaï, pour l'entrée en Canaan ; celles par lesquelles Il délivre son Oint (Ps 18) ou son peuple (Ha 3, i); celle qui inaugurera Son règne définitif Toutefois," Dieu n'est pas seulement présence majestueuse qui inspire une terreur sacrée. Élie à l'Horeb est déjà invité à dépasser ce signe partiel, pour entendre une révélation plus haute: Dieu est aussi une présence intime, qui parle à l'homme avec la douceur d'une brise légère.

3-: L'orage signe de la colère divine. Pour manifester les dispositions de Dieu à l'égard des hommes, l'orage demeure un signe ambigu : signe bénéfique, quand grâce à lui Dieu accorde la fécondité à une terre désolée' (1 R18) ; mais aussi fléau redoutable, Dieu réserve à Ses ennemis comme une marque de Sa colêre (Ex 9,13-34), La théophanie de l'orage convient donc particulièrement à Dieu quand Il juge et châtie (ls 3o,27ss),surtout lors du jugement où Il lancera Ses foudres contre Babylonè .

C'est pourquoi, par anticipation de ce jugement, la voix divine se fait entendre comme un coup de tonnerre lorsqu'elle proclame la glorification du Fils au moment où le prince de ce monde va être jeté à bas . Cette perspective de jugement ferait trembler d'épouvante si Dieu n'assurait aux siens qu'Il sera leur abri contre l'orage: de ce fléau eschatologique, le monde pécheur est seul menacé (Is 4,6). Car Dieu est autre chose qu'un Jupiter tonnant : Jésus fait comprendre aux « fils du Tonnerre » (Marc 3,I7) qu'Il ne se complaît pas à jeter Ses foudres sur ceux qui ne L'accueillent pas (Luc 9,54 ss).

La théophanie de l' orage est désormais complétée par la révélation de la grâce divine, qui nous est donnée dans la Personne de Jésus (Tt 2,10); « Des trompettes, des éclairs, la terre tremble; mais quand Tu descendis dans le sein d'une Vierge, Ton pas ne fit aucun bruit» (épigramme chrétienne sur la Nativité du Christ).

L'orage est aussi lié à la signification du feu : Vivifiant ,réchauffant,symbole de l'ardeur de l'amour destructeur dans les chatiments, consumant dans les purifications éclairant à travers les nuées. L'orage apporte donc à la fois l'eau et le feu,nécessaires à toute vie humaine ; Profonds sujets de méditations...

. Éclairs et nuées ,bénissez le Seigneur

Ps:Le verbe fulminer vient de fulmen:la foudre. En matière d'autorité du pape, on dit qu'il fulmine un décret, une «  bulle »(du latin bulla- évoquant le sceau de plomb qui authentifiait cette décision) D'après nos informations,SS Paul VI rétablirait la Messe de Saint Pie V par une bulle,dont nous pouvons penser qu'elle aura un ton  sans réplique; Prions à cette intention

Partager cet article
Repost0
6 mai 2014 2 06 /05 /mai /2014 11:33

Démographie de la fin des temps.

Il n'est pas interdit de comprendre les évènements de cette fin des temps à la lumière du bon sens éclairé par les très nombreuses annonces des prophètes catholiques.

Un point très important est à retenir : la démographie mondiale. Actuellement elle est de 7 milliards d'êtres humains.La projection des démographes évalue à 9 milliards en 2050 et en 2100 les 10 milliards seraient atteints.Mais avec quelles ressources ?

Comment concevoir un renouveau de l'Église ,un grand règne spirituel avec de telles masses affamées ?A l'opposé comment concevoir le régne tyrannique de l'antechrist ,un seul homme dominant 10 milliards de sujets et les marquant de son « matricule »même avec les «  puces » les plus sophistiquées... ?

Naturellement,il n'y a guère de solutions.Partout désespoir et révolte...

. Mais nos prophètes nous donnent les lumières nécessaires,pour bien réagir et bien se préparer

Nous sommes actuellement à la période de préchatiments et d'avertissements divins.De nombreux sursis nous ont été accordés, mais la coupe est pleine....

Après le retour de SSPaul VI,éclair de lumière et refondation de l'ordre,surviennent les avertissements « donnés au début de chaque année par les éléments naturels ».(NSJC) Si les hommes ne veulent plus de Dieu , »l'épée foudroyante » de Saint Michel frappera( cf le secret de la Salette) de façon subite et terrible.A l'issue des chatiments décrits » « la terre sera comme un désert ».Marie Julie du Crucifix parle d'une dépopulation des trois quarts de l'humanité. Ce chiffre est conditionnel et lié aux réponses aux avertissements . Ces annonces sont cohérentes avec toutes les autres qui parlent d'un nouveau déluge, celui-là de sang et de feu (guerre et phénomènes cosmiques... 3 Jours de privation de lumière et d'oxygène,orages et séismes,épidémies etc)

Seuls survivront ceux qu'il plaira à Dieu de conserver pour Ses projets.Car ce ne sera pas la fin des fins...la parousie et le jugement dernier. Il y aura une » génération sainte. » Le démon poursuivra cependant son projet de fausse incarnation.La dépopulation facilitera sa tyrannie. Mais ce sera pour son éternelle défaite.Le temps dont il dispose sera très bref .

4 Jésus triomphera toujours malgré Ses ennemis et avec Lui le petit reste, le petit nombre.. Il est temps de préparer nos catacombes,nos arches ; Comme Noé attendons l'heure où nous pourrons sortir et chanter la gloire de Dieu qui « fait tout avec nombre poids et mesure »... AMDG

Partager cet article
Repost0
6 mai 2014 2 06 /05 /mai /2014 00:39

Flos florum

Extraits de la brochure de Michel Servant(Jean Marty RIP)

Le souverain Pontificat de notre temps - l'heure du choix 1980

.Auteur de la somme prophètique :Veillez et Priez.

Indispensable outil de travail pour préparer l'avenir.

Association TRC 1,rue Saint Léger bat B2 Ap 89 78100 Saint Germain en Laye..Éditeur et diffuseur exclusif .Association sans but lucratif.

Les prophéties nous sont données pour préparer l'avenir en sanctifiant le présent. Leur but ,nous dit Notre Dame à Kerizinen,est d'avertir les impies des châtiments qu'ils encourrent s'ils ne changent pas de vie,mais aussi et surtout de conforter les justes dans la certitude de la Victoire final.

Rappelons encore que toute prophétie est conditionnelle. Souvenez -vous de Ninive …. 1-« Toutes les prophéties privées se rejoignent à notre sens, pour annoncer le martyre de Paul VI Les souffrances sans nom et sans nombre qu'il supporte depuis plus de dix ans ( texte de 1980), suffisent à faire admettre déjà cette situation de martyr. Quelle est par ailleurs la devise attribuée à Paul VI dans « La prophétie des Papes» de Saint Malachie? C'est: « Flos florum », que l'on traduit habituellement par « Fleur des fleurs », c'est-à-dire la Fleur par excellence. Ceci est vrai; mais insuffisant, pour comprendre la réalité. Qu'est donc, en effet, pour le disciple du Divin Crucifié, la « Fleur des fleurs », sinon la palme du martyre? La traduction exacte de la devise nous paraît être alors plus justement: Fleur (parce qu'il est le chef) des fleurs : des martyrs de cette époque de calamités. Le martyr des martyrs, par toute sa vie, consumée par la souffrance, jusqu'à la fin, qui verra son martyr réel. II. Aveu du démon BéeIzéboul, du l mai 1978 : « Tout serait complètement détruit au Vatican, s'il n'y avait pas la présence du vrai Pape. Oui, si le Pape ne priait pas à genoux, jour et nuit, et ne faisait pas monter ses plaintes vers le Seigneur, il y a beau temps que l'Église aurait déjà fait naufrage, que l'Église aurait touché le fond. Mais ce Saint-Père, dans sa haute sainteté, a été installé et voulu, afin que l'Église ne sombre pas. Mais le Pape Paul VI était déjà prévu de toute éternité, dans le plan de Dieu, pour cette époque, afin que l'Église ne fût pas submergée, et qu'un seul, le Pape (Paul VI) sût la porter. Parce que, avec ses douleurs, ses croix lui permettent de la porter encore . C'est tous les jours qu'il vit le martyre, beaucoup de martyres. Le Pape supporte des douleurs immenses, qu'aucun de ceux qui sont au Vatican ne serait capable de supporter. Ce n'est pas le Pape qui a faussé la barre de l'Eglise (v. le complément qui suit), mais le sosie et ses coadjuteurs. » «Ces malheureux ne se rendent pas compte que les souffrances qu'ils ont provoquées dans l'âme du Pape leur font chausser les bottes qui les conduisent en enfer et les condamnent ».

Et ce nouvel aveu de Béelzéboul, du 8 septembre 1978 : « Il y a deux ans, nous avons déjà dû dire qu'au commencement Paul VI avait commis des erreurs. Cela, il l'a déjà réparé cent fois ... Il souffre des douleurs immenses; il n'est pas coupable de la désastreuse situation de l'Église. Le martyre, il le subit et l'éprouve plus que jamais ... Il est le plus grand martyr d'aujourd'hui »

. Ici, il faut voir clair. Le Ciel fait affirmer en 1978, au cours d'exorcismes, que Paul VI « n'a pas faussé la barre de l'Église », qu'« il n'est pas coupable de la désastreuse situation actuelle de l'Église », QUI EMPIRE CHAQUE JOUR D'AILLEURS. Soit! Mais il n'en reste pas moins que Paul VI, conditionné par sa formation et ses convictions libérales, a ouvert au monde les portes de l'Église, dès les débuts de son pontificat Il est donc, en partie (dans quelle mesure? Dieu seul le sait), responsable de la situation actuelle de l'Église • Mais cela, il l'a réparé dans d'effrayantes souffrances physiques et tortures morales, qui durent encore. Le message reçu de Notre Seigneur par Jeannette de France, le 1er août 1976, résume admirablement ce double aspect du pontificat de Paul VI :

Responsabilité, Réparation: « LE PAPE A OUVERT LA PORTE A TOUT CE QUI SE PASSE MAINTENANT, MAIS IL LE PAlE DANS DES LARMES DE SANG ». Une des causes de son indicible tourment est qu'il se sent partiellement responsable de ce qui arrive dans l'Église; car il sait qu'il a rendu possibles, au départ, ces destructions : en ne s'opposant pas à ses adversaires avec la rigueur qui s'imposait; en faisant une confiance souvent aveugle à son entourage (dont certains choisis par lui-même, dans son « naïf » enthousiasme des débuts); en cédant aux évêques (en réalité aux conférences épiscopales gangrenées par la « collégialité ») une part de son autorité ... toutes fautes ou erreurs exploitées à fond par les ennemis internes de l'Église.

« Saint-Père bien-aimé Paul VI, nous vous en supplions, par delà vos erreurs passées, et votre responsabilité: criez la vérité. Supprimez ce pseudo (nouvel) « ordo missae ». Rétablissez 1'« ordo missae » de Saint Pie V qui, seul", exprime « La Vraie Messe ». Lancez un appel à la Résistance.

Tout nous porte à penser que ce sera le premier acte solennel de Paul VI, dès que « le nœud de volontés perverses qui l'étreint et l'étouffe aura été dénoué par Dieu » - avec le concours de nos prières et de nos sacrifices, par notre union, et que, libéré de son épouvantable incarcération,(1980) qui fait de lui désormais un martyr. Il sera enfin libre de parler et, ayant racheté ses faiblesses passées , il dévoilera « le mystère d'iniquité» (2 Thess. 2, 7) dont il est la première Victime : une victime d'amour, et de réparation, dans la Passion actuelle de l'Église qui est à l'aube de son Vendredi-Saint

Partager cet article
Repost0
5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 06:53

Pas d'accord pratique sans accord sur la doctrine

:Un principe divin, une règle de conduite valable pour tous en tous temps et en tous lieux.

« Le principe du pragmatisme, c'est de n'avoir pas de principes"

"Seuls les principes peuvent sauver les nations"

(Comte de Chambord)

Mgr Freppel remarquait avec raison que l’abandon des principes conduit inéluctablement aux catastrophes. On ne peut que craindre l’avertissement de saint Pie X : « Si la règle semble un obstacle à l’action, on se dit que dissimuler et transiger facilitent le succès : on oublie alors les règles sûres, on obscurcit les principes, sous prétexte d’un bien qui n’est qu’apparent. Que restera-t-il de cette construction sans fondations, bâtie sur le sable ? »

Le but de cette étude est de démontrer, que le principe sus-dit est absolument catholique, et ne peut souffrir ni abandon, ni exception, étant voulu de Dieu Lui-même.

I – La Révélation

Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, c’est la volonté très ferme et explicite de Dieu, que les hommes qu’Il daigne gratifier de Sa pure et vraie doctrine se gardent absolument de frayer avec ceux qui en professent une autre différente, au risque de rentrer en collusion avec la partie adverse et de manquer ainsi aux devoirs de sa charge.C'est ce qu'on appelle la prévarication. C’est la toute première recommandation qu’Il tient à faire à Moïse, lorsqu’Il conclut l’alliance avec lui : « Garde-toi de t’allier aux habitants des pays où tu vas, de peur qu’'ils ne soient pour toi un piège. Mais vous renverserez leurs autels et briserez leurs idoles … » (Ex. 34, 11) Notre Seigneur, à son tour, mettra souvent en garde Ses disciples contre le levain de la doctrine des Pharisiens et des Saducéens (Mt 16, 6 ; Mc 8, 15), contre les faux prophètes revêtus de peaux de brebis (Mt 7, 15) qui induiront beaucoup de gens en erreurs (Mt 24, 11) et même les élus si possible (Mt 24, 24). Les Apôtres seront si marqués par ces avertissements du divin Maître, qu’ils les transmettent avec force à leurs propres disciples : - « Je vous en prie, Frères, gardez-vous de ces scandaleux qui vont à l’encontre de la doctrine que vous avez reçue : évitez-les, car ces gens-là ne servent pas le Christ » (Rm. 16, 17). - « Je le répète : si quelqu’un vous prêche un évangile différent que celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème ! (Gal. 1, 9). - « Si quelqu’un vient à vous qui ait une doctrine différente, ne le recevez pas chez vous et ne le saluez même pas. Car celui qui le salue participe à ses œuvres mauvaises. » (2 Jn 10).

On pourrait ajouter d’autres passages de l’Écriture encore, ceux-là suffisent amplement, étant dictés par le Saint Esprit, pour nous convaincre que le devoir de nous garder des fauteurs d’hérésie (ou de religions fausses)est bien de droit divin.

II – La Tradition

Les premiers Pères de l’Église ne pouvaient pas oublier ces anathèmes doctrinaux, et ne purent que répéter sur tous les tons l’exhortation de saint Paul : « Fuis l’hérétique ! » (Tit. 3, 10). - « Fuyez les hérétiques, ce sont des successeurs du diable qui a réussi à séduire la premièrefemme. » (St Ignace d’Antioche). - « Fuis tout hérétique ! » (St Irénée). - « Fuyez le venin des hérétiques ! » (St Antoine du désert). - « Ne t’assied pas avec des hérétiques ! » (St Ephrem). Et saint Vincent de Lérins tient à nous préciser : - « L’Apôtre commande cette intransigeance à toutes les générations : il faudra toujours anathématiser ceux qui ont une doctrine contraire à celle reçue ».

C’est pourquoi, au XIXe siècle, un Dom Guéranger écrira à Mgr d’Astros : « Un des moyens de conserver la foi, une des premières

marques de l’unité, c’est la fuite des hérétiques. ». En effet, cette « première marque de l’unité » concerne évidemment l’unité de foi, la première note caractéristique de l’Église catholique,(une,sainte,catholique et apostolique) qui ne peut avoir « qu’un seul Seigneur et une seule foi » (Eph. 4, 5). Cette même Eglise, qui avertit solennellement les futurs sous-diacres ainsi : « Restez fermes dans la vraie foi catholique, car selon l’Apôtre, tout ce qui ne provient pas de la foi est péché (Ro. 14, 23), schisme, étranger à l’unité de l’Eglise ». Aussi pour mieux comprendre non seulement l’ancienneté, mais surtout le caractère absolu de notre principe, il nous faut garder bien gravé dans l’esprit que durant plus de mille ans de schismeentre les byzantins et Rome on n’a jamais, sans aucune exception, conclu un seul accord canonique avec des Uniates avant que ceux-ci n’aient pleinement reconnu la doctrine catholique sur les dogmes controversés (Filioque, Primat du Pape etc…).

A suivre D'après RP Jean ;Février 2014

Partager cet article
Repost0
4 mai 2014 7 04 /05 /mai /2014 06:23

Divins Enseignements suite 10/10

En conclusion de cette série des enseignements de Notre Seigneur à Sœur de la Nativité,voici le discours préliminaire de l'édition de ces écrits

.Il montre l'extrême prudence de l'éditeur,mais aussi son zèle à faire connaître ce trésor . Que ceci rassure tous ceux qui semblent atteints d'une véritable phobie des « révélations privées »suspectes d'être des illuminations diaboliques. Il ne faut pas, là encore jeter l'enfant avec l'eau du bain. Le Verbe Incarné est la Parole de Dieu.Qui peut Le baillonner ? Qui peut l'empêcher d'être Dieu avec nous -Emmanuel- réellement présent dans l'Eucharistie et donc parlant à qui Il juge bon, au moment qui Lui convient... ?

Une des causes de cette peur irraisonnée,comme d'ailleurs de l'autre côté d'une excessive crédulité, est la grave carence des études de théologie mystique dans les séminaires où l'on a plus enseigné le rationalisme de Descartes que l'Amour de Saint Jean de la Croix.Le mot « mystique » est devenu, hélas, une sorte d'injure et de mise en garde apitoyée Les mystiques sont comme des explorateurs des mystères surnaturels.Pourquoi les mépriser parce qu'ils témoignent de ce qui ont vu et compris ? In medio,stat virtus.... !

L'édition de 1819, qui est déjà une réédition, comporte quatre volumes épais, parus à Paris chez Beaucé (rue Guénégaud) libraire de S.A.R. Monseigneur Duc d'Angoulême. On y trouve un «discours préliminaire» de quatorze pages, écrit par l'abbé Genêt.

L'éditeur donne d'abord un avis. On y lit : «La première édition s'est épuisée en très peu de temps, et nous nous sommes trouvés dans la nécessité d'en entreprendre une seconde, pour répondre aux demandes qui nous ont été faites de tous côtés. « ... Pour remplir les intentions de cette sœur qui a toujours voulu, comme on le verra, se soumettre entièrement à l'Église et abandonner à ses ministres le jugement sur tout ce qu'elle rapporte, l'abbé Genêt communiqua son manuscrit à plusieurs prélats savants , et à plusieurs docteurs éclairés, dont on trouvera l'opinion au troisième volume. «Ils ont répété, pour la plupart, que le doigt de Dieu s'y manifeste à chaque pas, et que l'ouvrage, tel qu'il est, n'a besoin d'aucune autorisation. Il tire de lui-même ses preuves et toute sa force : Digitus Dei est hic . Cette universalité des suffrages, cette réunion d'opinions sur le point capital, m'a donné une certaine confiance qu'une production tant désirée pourrait un jour, selon l'annonce de l'auteur, contribuer au salut des âmes Comme à la gloire du Dieu qui prend tous les moyens de les procurer. Puisse l'événement répondre à notre attente! «Sans entrer en dissertation sur le degré de croyance qu'on peut donner aux écrits de cette fille extraordinaire, - ah ! que peuvent-ils produire sinon une foi particulière ! - j'ose espérer que l'Esprit-Saint éclairera mieux que personne les âmes de bonne volonté qui liront cette production, non par curiosité, ni pour trouver à redire, mais dans le seul dessein de s'instruire et d'en profiter en s'édifiant ... »

D'autre part, du long «discours préliminaire» de l'abbé Genêt, ne retenons que ces quelques lignes: . « ... Prévenu d'une juste méfiance contre mon propre jugement, écrit-il, j'ai présenté, suivant l'ordre reçu, mon recueil à des juges plus compétents et plus éclairés qui se sont trouvés en grand nombre dans les différens (sic) lieux de mon exil (l ) ... «C'est avec une vraie satisfaction que j'ai vu tant de dignes prélats, de docteurs respectables et de théologiens profonds se réunir à mon opinion. Tous, ils ont jugé cette lecture utile et propre à produire les fruits les plus désirables de conversion, d'avancement et de salut ... quoique la nature de cette production extraordinaire ne leur ait pas permis d'y joindre la sanction de leur jutorité ...

«L'ouvrage, ajoute l'abbé Genêt, a été lu et examiné par plus de cent théologiens: sept ou huit évêques ou archevêques, vingt ou trente vicaires généraux de différents diocèses, des professeurs de théologie, des abbés, des auteurs de livres estimés, des académiciens même, et plus de quatre-vingts curés ou autres prêtres, français ou anglais, sans parler de plusieurs personnes du monde très instruites ... «... Ils se sont, avec moi, plus à regarder ce recueil comme une nouvelle apocalypse; et l'auteur comme une personne suscitée de Dieu pour annoncer aux hommes le sort de l'Eglise jusqu'aux derniers temps de sa durée. Cela servira à les «prémunir » contre les erreurs et les scandales de cette époque finale». Ces remarques n'étaient que l'écho de ce que la Sœur de la Nativité avait affirmé elle-même à son directeur de 'conscience : «Dieu me fit voir, quoiqu'un peu confusément, que ce petit ouvrage, qui est le sien, doit être un jour reçu chez plus d'une nation et dans plus d'un royaume. Il doit suivre jusqu'à la fin le flambeau de la foi, avec ceux qui marcheront à sa lumière, sans que je puisse voir où il doit s'arrêter. Il sera lu jusqu'au dernier siècle du monde et jusqu'aux derniers temps de l'Église de Jésus-Christ. « ... Il sera lu, recherché et, comme l'évangile même, deviendra l'occasion du salut et de la perte de plusieurs». (Tome II, article 8)"

PS :

Nous publierons dans ce blog les textes de Sœur de la Nativité sur les Grands mystères qui sont l'objet de notre foi.

Partager cet article
Repost0
3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 08:01
Que votre OUI soit OUI et votre Non soit Non...

Que votre OUI soit OUI et votre Non soit Non...

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de senex
  • : A propos de la survie et du retour à Rome de SS Paul VI Les trésors de la doctrine catholique à votre service pour préparer l'avenir
  • Contact

Recherche

Liens